Un cadre réglementaire de biosécurité pour la protection des risques biotechniques UN FORUM NATIONAL DE L'EAU ET DE L'ASSAINISSEMENT PREVU AU PALAIS DES CONGRES DE LOME SOINS GRATUITS AUX POPULATIONS: MERCY SHIPS AU TOGO LE 5 JANVIER PROCHAIN POUR UNE 5e FOIS Le bateau médicalisé «MERCY SHIPS» sera de retour le jeudi 5 janvier 2012 pour la 5è fois, pour offrir gratuitement, et durant six mois, des soins de santé aux populations togolaises a annoncé, le jeudi 29 décembre à Lomé, le ministre de la Santé, le Professeur Charles Kondi Agba au cours d’une conférence de presse. Cette rencontre a connu la participation d’une délégation de cinq membres de l’équipe médicale de Mercy Ships, dirigée par le Docteur Tracy Swope. Elle a permis d’informer le public sur l’arrivée, dans 6 jours, du navire médicalisé sur lequel seront soignées gratuitement certaines pathologies dont la gravité défie la compétence nationale. Elle a également permis d’éclairer l’assistance sur les cas chirurgicaux pris en compte. Le ministre Agba et le Docteur Tracy ont expliqué qu’après l’arrivée du bateau, des équipes sillonneront toute l’étendue du territoire pour recenser les patients qui seront convoyés vers le navire pour des soins. Ils ont déclaré que les cas de pathologies se distinguent en deux catégories, à savoir les cas chirurgicaux et non chirurgicaux. Les premiers concernent le goitre, les malformations des membres (pieds, bras), du visage, le bec de lièvre, hernie et les tumeurs, et les seconds les maux de dents. Le ministre Agba a enfin exprimé la reconnaissance du gouvernement à Mercy Ships et promis sa disponibilité à les accompagner durant leur séjour de travail au Togo. Le Docteur Tracy a indiqué que Mercy Ships est financé par des donateurs du monde PLAN TOGO RENFORCE LES CAPACITES DE MEMBRES DU CONSEIL CONSULTATIF DES ENFANTS LE PLAN STRATEGIQUE 2011 – 2015 DE LALLIANCE POUR RENFORCER LA GOUVERNANCE A ETE PRESENTER A LA PRESSE.
La branche togolaise de l’Alliance pour Renforcer la Gouvernance en Afrique (ARGA) a partagé les principales orientations de son plan stratégique quinquennal 2011-2015 avec les acteurs et partenaires financiers et la presse le vendredi 23 décembre dernier à Lomé. Ce plan a pour but de guider les actions de l’alliance et de contribuer à l’amélioration de la gouvernance au Togo. Il contient la recherche documentaire réalisée par le noyau d’ARGA et l’analyse situationnelle de cette gouvernance aux plans économique, politique et social. En vue de la mise en œuvre du présent plan stratégique qui constitue la boussole d’ARGAT TOGO à l’horizon 2015, des plans opérationnels budgétisés seront adopté annuellement par l’organisation. Ces plans préciseront, en rapport des activités prévues, les périodes de réalisation, les responsables et les indicateurs de suivi, le suivi évaluation sera organise en vue d’apprécier l’atteinte des objectifs fixés. Aussi le plan opérationnel annuel fera l’objet de rapports périodiques (trimestriels)
Le document évoque également les perspectives et les axes stratégiques. Selon cette analyse, des progrès ont été réalisés dans plusieurs domaines tels que la démocratie, la promotion de la paix, la justice et la réconciliation. Les axes stratégiques mentionnés sont le renforcement de la gouvernance démocratique, l’efficacité du droit, la promotion d’une gestion responsable des affaires publiques et de la gouvernance locale, ainsi que la création des conditions pour une réconciliation profonde et durable.
Le médiateur national d’ARGA-Togo, Tikpi Atchadam a souligné la nécessité de repenser la gouvernance et de réorganiser les espaces de l’action publique en Afrique. L’Alliance pour Renforcer la Gouvernance en Afrique est une organisation qui regroupe des acteurs africains et non-africains engagés dans l’action et la réflexion, soucieux de promouvoir un dialogue sur la gestion des affaires publiques en Afrique. Présenté dans dix pays africains, elle œuvre pour l’édification d’un projet de gouvernance propre au continent, conçu par les africains et profondément ancré dans les réalités de l’AfriqueCONFERENCE DE PRESSE DE LANCEMENT DES 15 ANS DE KING MENSANH AU STADE DE KEGUE L’artiste de la chanson togolaise de la musique africaine, King Mensah sera en concert se 25 décembre prochain à 15 heures, au Stade de Kégué en organisant un spectacle de fin d’année enfin de rendre hommage a dieu pour ces bien fait Un spectacle au stade de Kégué de plus de 30.000 places, il faut dire que c’est un pari qu’aucun artiste togolais n’a pour l’instant imaginé et réalisé, car la plupart arrivent difficilement à faire salle comble au Palais des congrès de Lomé. Mais comme le Roi de la musique togolaise aime les défis, il veut encore accrocher un à son palmarès. La nouvelle de ce concert a été annoncée le lundi dernier au cours d’une conférence de presse. Pour se spectacle de choc au stade de Kégué, King Mensah sera entouré de 15 artistes de la partie du Togo et du bénin Damawouzan, Aze Kokovina, Monia Tchangaï, Sagbohan, Queen Eteme, Papou, Almok, Sir-T, Kossi Ape‘son , Finiki, Don Stash, Amen Viana, Olibig, le groupe Jeyliba et Richard Flash. se concert est parrainée par APSONIC moto et le sponsor officiel est togocel, ne manqué pas ce rendez inédite.
La 27ème Edition de la Quinzaine Commerciale ouverte mardi à Lomé
C’était en présence du Ministre du Commerce et de la Promotion du Secteur Privé La Quinzaine Commerciale de Lomé est une foire qui couvre chaque année, la deuxième quinzaine du mois de décembre. Elle est organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo, en collaboration avec l’Association Internationale des Etudiants en Sciences Economiques et Commerciales (AIESEC) sur le site qui l’a toujours accueilli, situé entre le Grand marché d’Adawlato et la CCIT. Durant 15 jours, les opérateurs économiques auront à faire la promotion de leurs entreprises, ainsi que de leurs produits. Pour cette édition, 230 stands ont été construits au total. « L’engouement de plus en plus grand que suscite cet événement auprès du secteur privé, va au-delà de nos espérances et il va falloir dans les années à venir envisager la possibilité d’accroître l’offre des stands dont la demande est exponentielle», a déclaré le représentant du Président de la CCIT, dans son discours d’ouverture.pour cette année nous signalons la présence des pays voisin à savoir le bénin, le Sénégal le Ghana et le Burkina Faso « Je ne doute pas que cette année, la 27ème Edition enregistrera plus de visiteurs que la précédente et, qu’elle sera pour tous les exposants, une véritable occasion de réalisation de belles affaires et de conclusion de partenariats féconds et durables pour la croissance économique », a souhaité le représentant du président de la CCIT. Il faut observer qu’avec le temps, la Quinzaine Commerciale de Lomé s’est affirmée comme un marché important, où des centaines de milliers de clients viennent à la rencontre des commerçants, industriels, artisans et autres prestataires de services, pour finir l’année en cours et entamer la nouvelle en toute beauté. Quant aux exposants, c’est la réalisation de bons chiffres d’affaires dans une ambiance festive qui constitue leurs préoccupations majeures. Car la Quinzaine Commerciale est également une fête. L’organisation de ce grand rendez-vous d’affaires est l’une des missions assignées à la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo, celle d’accompagner et de promouvoir les activités économiques dans le pays. VISION SOLIDAIRES AVEC LE SOUTIENT DE MONSIEUR GREGOR FREYTAG CHERCHEUR A ORGANISE UNE RENCONTRE DECHANGE AUTOR DU THEME LAPPORT DES EMIGRANTS ALLEMANGNE A LECONOMIE DU TOGO. C’est l’institut Goethe qui a pour cadre à cette rencontre d’échange dans le cadre de la journée internationale de l’émigration droit d’émigrant célébrer tout les 18 décembre de chaque année. Le potentiel attribué aux émigrants et les migrations pour le développement de leur pays d’origine se traduit dans deux phases de leur vie, celle d’émigration au pays d’accueille et celle de son éventuel retour avec sa réinstallation dans son pays d’origine. La seule source qui donne une idée du nombre des togolais retournés au Togo de l’Allemagne : La statistique des départs du StatistischesBundesamt(SB) elle montre les départs selon la nationalité des immigrés. En 2000 nombre des départs togolais 910, baissé continuellement à seulement 272 départ en 2010, pourtant, le seul recul des départ s’est redressé entre 2001 et 2004 après la chute de 27 °/° entre 2000. En Afrique de l’ouest, quelques ont révélé que les migrants préfèrent de se réinstaller au pays d’origine quand il y a des opportunités d’emploi et d’investissements d’affaires, conditions qui sont satisfaites généralement dans les situations économiquement prospères et politiquement stable. Cela confirme que le retour des migrants et le développement du pays d’origine sont des facteurs mutuellement interdépendants : plus le pays développe et offre des emplois adaptés aux qualifications des migrants, plus de migrants retourneront ;en même temps ce sont les retours réussis qui peuvent avoir un impact essentiel au développement non seulement économique du pays d’origine. Souvent les migrants n’avaient pas droit d’un travail adéquatement payé ou pas de travail du tout en Allemagne ou ils étaient ignorés parc e que les allemands étaient préférés lorsqu’une poste de travail était vacante .seulement la minorité(45,5) a eu la chance de travailler pour un salaire normale. Cela les a permis d’acquérir une certaine épargne .mais manque de formation et manque de travail au Togo qui soit similaire au travail qu’ils on fait en allmangne, seulement 9°/° peuvent exploiter leurs compétences professionnelles de l’Allemagne dans son atelier à Sokodé
LE «GOSPEL SHOW DE LA NATIVITE» ANNONCE POUR CE 24 DECEMBRE AU STADE OMNISPORTS DE LOME Le concert live spirituel «Gospel show de la nativité» se tiendra le samedi 24 décembre au stade Omnisports de Lomé, a annoncé le samedi 17 décembre, le directeur général de la maison de promotion culturelle «Royal Concepts», Gnassingbé Badibalahi au cours d’une conférence de presse. Ce concert sera animé par l’artiste Mme Pasteur Abitor Makafui, assisté du chantre Moutité, Precious et le pasteur Felix Sossah. Cet événement s’inscrit dans le cadre de la nativité du christ au 25 décembre et marque le retour sur scène de l’artiste Abitor Makafui. Selon le directeur général, de Royal concept, Gnassingbé Badibalahi, ce concert a pour but d’offrir au public surtout aux chrétiens, enfants déshérités et orphelins un instant d’action de grâce au seigneur. M. Badibalahi a indiqué que le concert débutera à 16 h 30 et donnera l’occasion à Mme Abitor Makafui d’exécuter sur scène huit titres de son répertoire Il a rassuré que des dispositions sécuritaires adéquates sont prises pour un bon déroulement du spectacle en cette fin d’année. «Royal concepts», une maison de production culturelle basée à Lomé a pour objectif la promotion des artistes à travers la production musicale, le management de leurs carrières et l’organisation d’événementiels LES MEMBRES DU GIFTO-RDC ET L’INTEGRATION SOCIO-ECONOMIQUE SOUS-REGIONALE Une rencontre d’intégration et de lancement des activités de 2011-2012 du Groupement d’Intégration des Femmes Togolaises d’origine de la République Démocratique du Congo (GIFTO-RDC) a eu lieu le dimanche 18 décembre à Lomé. L’objectif de la réunion est de regrouper toutes les femmes congolaises ayant épousé des Togolais et de lancer les activités leur permettant de s’intégrer davantage afin d’apporter leurs contributions au développement de leur pays d’accueil. Elle vise également à promouvoir des échanges socioéconomiques et culturels pour l’épanouissement des femmes congolaises et togolaises, ainsi que celles des autres régions d’Afrique résident au Togo. Pour y arriver, les femmes togolaises d’origine congolaise entendent entre autres œuvrer pour l’autonomisation de la femme, sa santé sexuelle et reproductive mettant l’accent sur le planning familial et la non violence conjugale. Elles envisagent aussi l’entreprenariat féminin et la culture de la solidarité entre les membres. A cet effet, les participants ont mis sur pied un bureau d’une dizaine de membres dirigé par Mme Cissé Lydia Kabangu, initiatrice du GIFTO-RDC. La représentante de la ministre de la Promotion de la Femme, Mme Léontine Akakpo, s’est réjouie de l’initiative et convié les membres à continuer les activités socioéconomiques et culturelles qu’elles mènent déjà au Togo. Elle a rassuré les membres du GIFTO-RDC qu’il existe des textes juridiques les aidant à mieux s’intégrer dans la culture togolaise avant de les garantir la disponibilité de son ministère à travailler à leurs côtés. «Epouser une personne d’un autre pays n’est pas synonyme de s’égarer, mais plutôt un atout», a fait remarquer la présidente du groupement qui a invité ses consoeurs à utiliser cet atout pour s’affirmer en s’impliquant dans tous les domaines d’activités de la société togolaise Mme Cissé Lydia Kabangu a saisi l’opportunité pour demander au chef de l’Etat togolais à s’investir pour la paix en RDC qui traverse une crise post électorale. D’autres personnalités avaient auparavant encouragé les membres du GIFTO - RDC pour leur engagement et promis de les appuyer pour l’atteinte des objectifs en vue du bien-être de tous.
AMBASSADRICE JUNIOR UEMOA TOGO 2011
DU 17 AU 29 DECEMBRE A LOME A ETE LANCE AU SIEGE DE L’UEMOA
COMMUNIQUE DU MOUVEMENT «TON DE LA JEUNESSE PATRIOTIQUE (TJP)»
Faisant suite aux scènes de violence orchestrées le mercredi et jeudi dernier dans la ville de KARA par les étudiants lors de leurs revendications, le « TON DE LA JEUNESSE PATRIOTIQUE » appelle toute la jeunesse estudiantine de KARA et de LOME à faire preuve d’une grande maturité en tant que relève de demain qui doit servir de bon exemple aux autres couches de la population. Le TJP par ailleurs appelle chacun des Togolais aimants son pays à proscrire la fièvre de la violence et à tout faire pour fermer ces douloureux chapitres que notre pays a fréquemment vécu. Ces violences constituent et demeurent des retards dans la mesure où elles laissent toujours des dégâts et séquelles. Chers compatriotes pensons un peu au pays qui est en reconstruction et accordons lui la chance de pouvoir avancer. La jeunesse doit pouvoir jouer son rôle non plus par la violence comme de par le passé mais par des réflexions matures et dialogues incessants dans un esprit patriotique. Le TJP encourage le gouvernement dans ses actions de développement et l’exhorte à plus d’attention à l’endroit du peuple en prenant toujours l’initiative d’un franc dialogue. . Fait à Lomé, le 13 Décembre 2011
LE TON DE LA JEUNESSE PATRIOTIQUE P/O LE PRESIDENT, Laurent Fabius ETAIS EN CONFERENCE DEBAT AU PALAIS DES CONGRES DE LOME L’ancien Premier ministre français Laurent Fabius , dissertait ce matin au Palais des congrès de Lomé devant plusieurs centaines de hauts cadres de l’administration sur le thème « Gouverner au XXIe siècle ». Une conférence organisée par les autorités togolaises en partenariat avec le Groupe des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Paris après celles qui avaient vu se succéder à la tribune Michel Rocard, Jean-Pierre Raffarin et Hubert Védrine. Ces cycles de formation s’adressent aux hauts cadres de l’administration ainsi qu’aux dirigeants du secteur privé. Le Togo s’est engagée dans le vaste chantier de la modernisation de son administration qui passe par davantage d’expertise pour ses cadres du secteur public. "Gouverner c'est d'abord choisir, mais aussi anticiper, décider, évaluer, résister et rassembler", a déclaré M. Fabius lors de son intervention soulignant que le propre d'un homme d'Etat était de résister aux opinions toutes faites. Il a noté que les nouvelles technologies, la mondialisation, et la médiatisation étaient des facteurs nouveaux qui devaient également être pris en compte par les gouvernants du XXIe siècle. "Aujourd'hui, la finance a pris le pas sur l'économie et l'économie a pris le pas sur l'humain, or la finalité d'un gouvernement est d'œuvrer pour l'éclosion de l'être humain", a ajouté l’ancien ministre du Budget. Pour Laurent Fabius, les 5 défis majeurs à relever sont le développement économique, la question démographique, l'urgence écologique, la question de la sécurité et la démocratie.
LA POLITIQUE NATIONALE DE L’ENVIRONNEMENT VALIDEE A LOME Le ministère de l’Environnement et des Ressources Forestières a validé la politique nationale de l’Environnement le mardi 13 décembre à Lomé au cours d’un atelier. Financé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) dans le cadre de la mise en œuvre du Programme national de Renforcement des Capacités de Gestion de l’Environnement (PRCGE), cet atelier a permis d’analyser le document actualisé de la politique environnementale au regard des nouveaux défis, d’enrichir ses composantes et de le valider. Cette nouvelle politique environnementale comporte des orientations nationales pour une gestion durable des ressources naturelles et de l’environnement dans les différents domaines d’activités du pays. Ouvrant les travaux, le ministre de l’Environnement et des ressources Forestières Kossivi Ayikoé, a signifié que face aux problèmes environnementaux aux quels le pays est confronté, il importe que tous les acteurs s’impliquent dans l’élaboration et la mise en oeuvre des projets et programmes afin d’assurer une croissance économique durable.
Il a adressé sa reconnaissance aux partenaires techniques et financiers pour l’assistance multiforme qu’ils ont toujours apportée dans l’amélioration de la gouvernance environnementale et des conditions de vie des populations. Pour le Directeur de l’Environnement Thiyu Essobiyou, il est apparu urgent et nécessaire d’adapter la politique nationale de l’environnement datant de 1998, aux défis et aux exigences des conventions et des accords multilatéraux que notre pays a ratifiés. Laurent Fabius ce matin au Palais des congrès de Lomé; à sa gauche Adji Otéth Ayassor, le ministre de l'Economie et des Finances ATELIER DE VALIDATION DU DOCUMENT DE LA POLITIQUE NATIONAL DE L’ENVIRONNEMENT (PNE)
Les acteurs impliqués dans la gestion de l’environnement entendent à travers ce document améliorer le cadre et les conditions de vie des populations. L’ASSOCIATION KEREWA ETAIS FACE A LA PRESSE LE SAMEDI 10 DECEMBRE A LA MAISON DE TV5 L’association à organiser une conférence de presse de lancement le samedi dernier. L’association KEREWA qui signifie en kabyè splendeur a pour but de contribuer à valoriser la jeune fille et promouvoir son mieux-être. Les objectifs pour atteindre ce but sont entre autres de lutter pour la scolarisation complète de la jeune fille et l’épanouissement des jeunes filles en difficulté, de contribuer à la réalisation de l’éducation pour tous au Togo de venir en aide aux apprenantes en difficulté et d’encourager les meilleures élèves à exceller .selon la présidente, le développement du Togo est une œuvre qui revient à tous. Individuellement ou collectivement, chacun doit s’impliquer d’une manière ou d’une autre, en vue d’apporter une contribution dans un domaine de la vie nationale. Egalement bien le gouvernement que les communautés sont appelés à définir les orientations de ce développement, mobiliser les ressources et en faire usage en vue de produire des résultats de progression. L’association kerewa est présidée par KPIZING Mazahalu Palakiyem qui est à la tête d’un bureau de sept membres
9è ASSEMBLE GENERALE DE LALLIANCE BIBLIQUE DU TOGO
IDENTIFICATION DES ABONNES A LA TELEPHONIE MOBILE EXPLIQUEE AU PUBLIC L’Autorité de Règlementation des secteurs de Poste et de Télécommunications au Togo (ARTP), en collaboration avec les opérateurs de télécommunications au Togo (Moov et Togocel), a informé le public togolais des dispositions et mesures relatives à l’identification systématique et obligatoire des abonnés aux services de télécommunication, au cours d’une conférence de presse, le mardi 6 décembre à Lomé. La rencontre a permis d’informer le public sur les raisons qui sous-tendent la décision des autorités togolaises à procéder à l’identification des numéros et par delà les dispositions et mesures afférentes. Il s’agit notamment de permettre aux opérateurs de connaître avec certitude le nombre de leurs abonnés afin de disposer de meilleures politiques de développement et de couverture nationale des réseaux. Ceci permettra aussi aux autorités de l’ARTP et aux opérateurs de télécommunication de détecter désormais les criminels et escrocs via les téléphones portables. Les fiches d’identification renseignent sur l’état civil et l’adresse complète du souscripteur à qui il est exigé la copie d’une pièce d’identité en cours de validité. Il peut notamment s’agir de la carte nationale d’identité, d’électeur, de séjour, consulaire pour les étrangers, d’un permis de conduire ou d’un passeport. Pour les mineurs, la signature d’un des parents ou d’un tuteur avec une pièce d’identité est obligatoire. Les personnes ne disposant pas de pièce d’identité peuvent se faire parrainer par une ou des personnes majeures remplissant les conditions d’identification. Pour les personnes morales, l’acte juridique justifiant de l’existence de la personne morale, (un extrait de l’identification au registre du commerce, la publication au journal officiel pour les sociétés ou les établissements, ou le récépissé de l’enregistrement pour les associations) et la pièce d’identification du responsable ou dirigeant sont exigés. Concernant les dispositions liées à la cession et réattribution de numéros, il est notifié que l’abonné est tenu de signaler à l’exploitant de réseaux toute cession, perte ou vol de son numéro. Au cas échéant, sa responsabilité demeure engagée en cas d’utilisation frauduleuse à l’ordre public de ce numéro. L’exploitant se réserve le droit de récupérer tout numéro identifié qu’il constate inactif après le délai prévu par la règlementation en vigueur et peut réattribuer, ce délai passé, à un nouvel utilisateur, toujours avec l’obligation d’identification. Pour les contrôles et sanctions y afférents, il est prévu que l’ARTP se charge de contrôler les mesures de garantie de confidentialité prise par les exploitants en attendant l’élaboration de textes nationaux sur l’informatique et les libertés. Le directeur général de l’ARTP, Palouki Massina, s’est focalisé sur les confidentialités des données. Il a, à cet effet, rassuré le public et fait savoir que les informations enregistrées sur les abonnés sont conservées par les exploitants dans des bases de données sécurisées. «Toutes les dispositions sont prises de manière à assurer la protection de l’intégrité et la confidentialité des données à caractère personnel et ne peuvent être divulguées que pour des raisons de défense et de sécurité nationale, sur l’autorisation signée par un judiciaire», a-t-il ajouté. L’identification débute le 1er janvier 2012 et prendra fin le 30 juin 2012. Une campagne foraine se fera dans les régions, préfectures et villages pour permettre aux populations de se faire enregistrer.
LA QUATRIEME EDITION DU FESTIVAL «KETEKPE» A ETE LANCE LUNDI DERNIERE A LOME L’association Togo Culture Plus, en collaboration avec l’association allemande de promotion de football de rue «Buntkickgut», organisera du 9 au 11 décembre à Sokodé, la 4e édition du festival national de musique et de danses traditionnelles dénommée «KETEKPE». L’annonce de cette manifestation culturelle a été faite au cours d’une conférence de presse animée le lundi 5 décembre à Lomé. Ce festival placé sous le thème «la culture comme élément identitaire et facteur de développement et d’intégration», entend valoriser la culture togolaise à travers l’organisation d’échanges culturels entre l’Occident et l’Afrique. Il permettra de découvrir les artistes traditionnels togolais, surtout à ceux du septentrion, appelés à saisir cette opportunité pour se façonner une identité sur l’échiquier international. Pour le coordonnateur général du festival, Bassirou Ayéva, au total vingt groupes, du Bénin, du Ghana, du Togo, prendront part à cette compétition. Selon lui «la particularité de cette édition réside du fait qu’il sera couplé d’un concours de meilleurs chauffeurs basé sur le respect du code de la route et les rapports avec les passagers; de la coupe inter-quartier de salubrité dont l’objectif est de sensibiliser la population sur les questions liées à l’environnement et aux comportements relatifs à l’hygiène». Pour M. Ayéva «Kétékpé» est un cade de brassage culturel dont l’objectif est de combattre les préjugés qui divisent les occidentaux et les africains, promouvoir le développement touristique et lutter contre la pauvreté. Les artistes de la chanson togolaise, notamment Santy Dorim et Finiki seront également de la partie. 50 PLANTS DE COCOTIERS MIS EN TERRE A LA PLAGE DE LOME Le Rotary Club Lomé-Cocotiers a procédé le samedi 03 décembre 2011, à la plage non loin du Palais de l’Entente de Lomé, à une action de mise en terre de cinquante (50) plants de cocotier et de salubrité publique de ladite plage. Organisée en partenariat avec le Rotaract Club Lomé Palmes, cette action participe à l’embellissement de la plage de Lomé et contribue à la protection de l’environnement, l’un des neuf (9) domaines prioritaires du Rotary. L’ami NOLITSE Lolo, Président 2011-2012 du Club Lomé Cocotiers, a indiqué que son club entretient depuis une dizaine d’année cette plage et a remercié les autorités togolaises pour leur autorisation et surtout pour l’intérêt qu’elles accordent de plus en plus aux problèmes d’environnement. Créé en 1999, le Rotary Club Lomé-Cocotiers, l’un des 10 clubs Rotary du Togo, est membre du Rotary International qui est une association mondiale d’hommes et de femmes issus de professions diverses qui encouragent une haute éthique professionnelle, œuvrent pour l'entente et la paix mondiale et élaborent des actions (humanitaires, éducatives et culturelles) visant à améliorer les conditions de vie des populations aux plans national, régional et international. Le Rotaract Club Lomé Palmes, club filleul et partenaire dans l’action, mène ses activités dans la cité depuis sa création le 30 mai 2004. Parmi les réalisations du Club Lomé – Cocotiers figurent entre autres des actions de dons de matériels médicaux ; de tables bancs, de matériels didactiques ; de machines et de vélos à des handicapés ; de rénovation de complexes scolaires ; d’aménagement de latrines ; de réalisation d’adduction d’eau ; etc. Les interventions du Club Lomé Cocotiers dans les domaines prioritaires du Rotary International que sont la santé, l’éducation, l’eau et l’environnement se chiffrent à plus de 200 millions de FCFA. Le Rotary International est une organisation centenaire créée en 1905 et reconnu comme étant la principale organisation non-gouvernementale pourvoyeuse de bourses dans le monde dont l’une des actions est Polio Plus, campagne de vaccination antipolio engagée en collaboration avec les gouvernements et les organisations internationales de santé (OMS, UNICEF) dans le but d'éradiquer la polio dans le monde.
GRAD EN COLLABORATION AVEC LE NED A ORGANISE DU AU 6 DECEMBRE 2011 AU REALIS DE LA CAISSE DEUX JOUR DE REFLEXION SUR LE THEME PLATE FORME DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE TOGOLAISE ENGAGEES DANS LA PROTECTION DE LA DEMOCRATIE ET DE LETAT DE DROIT. Selon monsieur ALIPUI Victor les expériences dans les pays africains de la démocratie comprise comme le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple, au cours de ces vingt dernières années sont franchement décevantes. La pratique de la démocratie doit-elle-se résumer uniquement en la dotation d’un pays d’une constitution et de la mise en place des institutions est l’état. Et tout le monde sait aujourd’hui que dans la plupart des pays africains la constitution est l’œuvre des commissions constitutionnelles dont les membres sont coptés. Sur le plan économique l’Afrique est aujourd’hui dans l’impasse en raison du refus de la remise en cause des structures léguées par la colonisation. Ce choix apparaitre aujourd’hui comme la solution de facilité adoptée après l’indépendance consistant à faire le développement économique en ayant recours de façon inconsidérée à l’aide internationale. Celle-ci se présente sous les formes suivantes : aide bilatérale, aide multilatérale, investissement direct, crédits des banques privées, subvention des gouvernements amis. Cette plateforme est organisée pour évaluer et débattre des problèmes politiques institutionnels et économiques auxquels le continent africain est confronté en général et le Togo en particulier, cinquante ans après l’indépendance.
GRAND BAZAR DE NOEL 7 EDITION DU 1ER AU 3 DECEMBRE A L’HOTEL SARAKAWA DE LOME Zonta club est une organisation internationale dont la mission principale est d’œuvrer à l’amélioration du statut légal économique politique, professionnel de la femme de même que sont état de santé et son niveau d’éducation à travers le monde par le service et le plaidoyer.
Au cour de la visite du gouverneur du district 18 de cette organisation qui couvre les pays africains à l’honneur pendant 3 jour d’assistera aux diverses manifestations prévue par l’organisation. Le jeudi dernier il a assiste l’ouverture officielle en présence de madame la ministre de la promotion de la femme de l’exposition du grand bazar caritative qui est a sa 7 éditio
Zonta club millenium axe ses actions sur des projets et des activités touchant l’autosuffisance économique des femmes, l’égalité juridique homme/femme, la santé des mères et des enfants, la lutte contre la pauvreté, la violence faite aux femmes et le développement du leadership féminin
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28è JOURNEE MONDIALE DES VICTIMES DU SIDA:
UN SYMPOSIUM INTERNATIONAL SUR LES ENJEUX DE LA POCREATION
CHEZ LES PVVIH A REUNI LES ACTEURS A LA BIDC
Un symposium international sur le thème «Impact du VIH sur le développement; les enjeux de la procréation chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH)» a réuni le mardi 29 novembre à Lomé, des médecins, des représentants des pouvoirs publics et des institutions et organismes nationaux et internationaux, impliqués dans la lutte contre le Sida au Togo.
Cette rencontre a été organisée par l’association Global Health International Institute (GH2i) et la Fondation Robert Fiadjoe en collaboration avec le Global Network of Poeple living with HIV (GNP+) et le Réseau des Associations des PVVIH (RAS+) au Togo.
Le symposium soutenu par l’OMS ET l’ONUSIDA, s’inscrit dans le cadre de la célébration de la 28è journée internationale commémorative des victimes de l’infection au VIH sida (International HIV aids Candlelight Memorial).
Cet évènement mondial selon les organisateurs, appelle à une action de mémoire à l’endroit
des personnes décédées des suites de l’infection au VIH Sida et à témoigner un soutien aux PVVIH, aux familles affectées surtout aux veufs ou veuves, aux orphelins qui malheureusement sont souvent oubliés dans les programmes de développement, par l’allumage d’une bougie.
Aussi, la rencontre visait-elle à attirer l’attention des acteurs sur les défis réels et éminents auxquels sont et seront confrontés les couples séropositifs qui voyant leur espérance de vie prolongé grâce aux traitements, manifesteront davantage le désir de procréer sans risque.
Les participants ont été édifiés sur la pandémie à travers des exposés sur l’historique de la maladie et son impact sur le développement, les enjeux de la procréation chez les PVVIH, le protocole applicable au Togo et les attentes des PVVIH.
Ces thèmes ont été développés respectivement par le représentant résident de l’OMS au Togo, Dr Pierre M’pelé, le Pr Louis Bujan et Dr Carole Fajau venus de France, le président de la Fondation Robert Fiadjoe, Dr Robert Fiadjoe, et le chargé de la communication de RAS+Togo.
Les conférenciers ont relevé les défis à surmonter dans beaucoup de pays africains dont le Togo pour assurer l’objectif zéro nouvelle infection, zéro décès, zéro stigmatisation dans le cadre de l’accès universel.
Il s’agit entre autres de l’augmentation de la couverture du traitement antirétroviral, la détection précoce des cas et la prévention y compris de la mère à l’enfant.
Ils ont également présenté les possibilités qu’offrent aujourd’hui la médecine en matière de la sécurisation de la procréation chez les couples séropositifs.
Le prix du leadership GH2i 2011 a été attribué à l’ONG Population Service International (PSI)-Togo pour ses actions aux côtés du gouvernement dans la lutte contre la maladie.
Le directeur du Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS), Vincent Pitchè a fait l’état des lieux de la pandémie au Togo, présenté les actions déjà engagées et celles en cours pour l’endiguer.
De leur côté, le président de GH2i, Dr Kokou Agoudavi et le Dr Robert Fiadjoe ont plaidé pour un engagement accru des autorités gouvernementales pour une prise en charge des PVVIH dans le cadre de l’Assistance Médicale à la Procréation (AMP).
Pour sa part, le chargé de la communication de RAS+Togo, a sollicité une assistance financière du gouvernement pour le payement des frais de consultations, d’analyses et de prise en charge dans le cadre de l’AMP ainsi que la dotation du réseau d’un siège.
LA GESTION DE L’ENVIRONNEMENT AU TOGO PAR L’ANGE
L’Agence Nationale de la Gestion de l’Environnement (ANGE), a tenu le jeudi 1er décembre à Lomé, une réunion de concertation avec ses partenaires nationaux dans le cadre du lancement de ses activités.
Cette rencontre qui a regroupé les acteurs nationaux, les professionnels des médias et un panel d’experts des questions environnementales a permis d’éclairer les partenaires sur les actions à mener, le rôle et responsabilité de chaque acteur dans la gestion des ressources naturelles et du cadre de vie.
Les participants ont réfléchi sur les stratégies à adopter pour constituer des groupes thématiques et édifier l’opinion nationale sur le rôle, les attributions, l’organisation et le fonctionnement de l’ANGE créée par décret en août dernier et surtout sur le démarrage de son activité de suivi environnemental.
Les échanges ont porté entre autres sur la gestion des déchets surtout des sachets plastiques, la pollution due à l’échappement de gaz, la qualité des eaux minérales et des forages et la protection de la zone côtière.
Il ressort de ces échanges, la nécessité d’associer les organisations de la société civile
à travers des séances d’information et de sensibilisation pour un changement de comportement en matière de la gestion environnementale.
Le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement et des Ressources forestières, Ouro- Djéri Essowè a souligné que la création de l’Ange part de la problématique des pollutions au Togo en terme de gestion des déchets des centres urbains et semi-urbains, de l’eau, de la qualité de l’air, de
radioprotection, ainsi que le suivi environnemental des domaines côtiers et forestiers. Il a relevé que la gestion environnementale étant devenue une question transversale, il urge d’impliquer toutes les couches socio- rofessionnelles dont les collectivités locales pour une bonne gouvernance environnementale.
Le directeur de cabinet a indiqué que l’ANGE ne peut atteindre ces objectifs qu’à travers des évaluations périodiques, l’intégration de l’environnement dans les politiques sectorielles, le renforcement des capacités et l’appui technique des partenaires, ainsi que la recherche et la mobilisation des moyens financiers et techniques.
Le directeur de l’ANGE, Adadji Koffi Efanam a, de son côté, défini la mission de son agence et rappelé les activités déjà menées.
D’après lui, l’ANGE sert d’instrument d’action au gouvernement, en matière de promotion du développement durable des collectivités locales qui permet de sécuriser les écosystèmes côtiers et forestiers et d’alerter la population sur les mouvements environnementaux
LA 7e REUNION DE L’OBSERVATOIRE REGIONAL DES MARCHES PUBLICS DE
L’UEMOA OUVERTE A LOME DEPUIS LUNDI DERNIER ET PRENDRA FIN SE VENDREDI A L’ HOTEL EDA OBA
La septième réunion de l’Observatoire Régional des Marchés Publics (ORMP) de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) se tient du 28 novembre au 2 décembre à Lomé.
Cette rencontre, permettra aux experts d’examiner le rapport provisoire sur l’élaboration et l’adoption de dispositions relatives à la corruption dans les marchés publics et au délit d’atteinte à la liberté d’accès et à l’égalité des candidats à intégrer dans le code pénal.
Les participants examineront également le rapport provisoire concernant l’élaboration de codes de déontologie, d’éthique et de moralisation des agents chargés de la passation des marchés publics, qui devront intégrer la dimension genre.
Ils étudieront aussi les rapports provisoires sur l’élaboration de Termes De Référence
(TDR) type d’audit des acquisitions et sur la conception d’un guide de transposition de la Réglementation Communautaire des Marchés Publics (RCMP).
Les experts plancheront aussi sur les rapports provisoires relatifs à l’élaboration du mémento d’accès des Petites et Moyennes Entreprises et Industries (PME/PMI) à la commande publique et à l’élaboration du guide de l’acheteur et des soumissionnaires.
Le directeur de cabinet du ministère de l’Economie et des Finances, Djossou Semodji a invité les participants à examiner attentivement les points inscrits à l’ordre du jour.
De son côté, le directeur des Finances Publiques et de la Fiscalité intérieure à la Commission de l’UEMOA, Abdou Tahirou a souligné que les résultats des travaux permettront une avancée notable dans la finalisation des activités du Projet de Réformes des Marchés Publics dans l’espace UEMOA (PRMP-UEMOA) pour l’atteinte de ses objectifs principaux.
L’Observatoire Régional des Marchés Publics dans l’espace UEMOA a pour mission
d’appuyer la commission dans la définition et la mise en oeuvre des règles sur la surveillance multilatérale en matière de marchés publics et de délégation de service public.
LE PROJET « IMPLANTATION DE PANNEAUX POUR LA LUTTE CONTRE
LE HARCELEMENT SEXUEL EN MILIEU SCOLAIRE » PRESENTE AU PUBLIC
Le projet « Implantation de panneaux pour la lutte contre le harcèlement sexuel en milieu scolaire » initié par la jeune chambre Internationale (JCI) Lomé prestige a été présenté au public le 26 novembre à Lomé. Financé par la Fondation Total, ce projet consiste à animer des séances de sensibilisation dans les six établissements scolaires de la région Maritime à l’intention des élèves et enseignants en vue d’envisager les moyens nécessaires à la lutte contre le harcèlement sexuel. Le projet
consiste également dans la mise en place d’un juridique, l’élaboration et ’implantation des panneaux d’information et de conscientisation dans les six établissements scolaires à savoir les complexes Essor, le levant, Blaise Pascal, le Lycée Gbenyedji, l’Institut Technique et commercial Ste Monique et le CEG Avépozo.
Le projet selon les responsables de JCI permettra de créer un environnement décourageant pour la pratique du harcèlement sexuel en milieu scolaire et d’encourager les établissements scolaires à protéger les filles contre ce fléau qui empêche le développement durable des jeunes.
Les débats ont permis d’éclairer davantage l’assistance sur le phénomène dans les écoles et centre des formations.
La promotrice du projet, Mlle, Solange Fiaty a relevé que la mission de la JCI est « d’offrir des opportunités de développement aux jeunes gens en leur donnant la capacité de créer des changements positifs ». Elle a précisé que le projet doit durer neuf mois et être exécuté sur une année académique avec le but ultime d’éradiquer ce fléau qui entrave l’épanouissement des jeunes.
A la fin de la rencontre, des attestations de participation et des symboles d’engagement des établissements ont été remis aux différents responsables scolaires en vue de les encourager dans la lutte contre ce mal.
LA PHASE DE REPARATION DE LA CVJR DU 28 AU 02 DECEMBRE 2011
La Commission Vérité Justice et Réconciliation (CVJR), entame un nouveau chantier. C’est celui de la réparation. C’est dans ce cadre que se tient un atelier de renforcement de capacité et d’échange d’expérience sur le programme de réparation ouvert le lundi 28 novembre 2011, au siège de l’institution à Lomé. Le thème de la rencontre, « Quel programme de réparation pour la Vérité, la justice et la réconciliation au Togo ».
L’atelier regroupe une soixantaine de participants dont les associations de défense des droits de l’homme, les associations de victimes, les leaders religieux et les chefs traditionnels, les réseaux régionaux des organisations de la société civile et le système des Nations Unies. Les travaux visent à susciter une appropriation nationale du programme de réparation à intégrer dans le rapport final de la CVJR.
Pour le président de la commission Mgr Nicodème Barrigah, cette phase de réparation demeure un droit et un facteur important de motivation au processus de réconciliation.
LE PDR FORME SES LEADERS FEDERAUX SUR LA DECENTRALISATION ET LES ELECTIONS LOCALES
Le Parti pour la Démocratie et le Renouveau (PDR) a organisé le samedi 26 novembre au CESAL une journée de formation sur la décentralisation et les élections locales à l’intention de ses leaders fédéraux des régions Maritime et des Plateaux.
Cette formation vise à préparer les leaders et les membres aux échéances législatives et locales de l’année 2012. Les participants ont été édifiés sur trois modules notamment «La décentralisation et les élections locales; les techniques de communications captivantes et comment gagner une élection locale pour l’année 2012». Ils ont également suivi des communications sur l’art oratoire, comment convaincre le public et d’autres techniques de communication captivantes.
Le secrétaire générale du PDR, Henri Lardja Kolani, a indiqué que l’objectif de ce colloque est de renforcer les connaissances des participants en matière politique pour les échéances à venir dans notre pays.
M. Kolani a fait l’historique et le bilan des activités du parti et exhorté les formateurs et participants à plus d’ardeur, de discipline et de curiosité intellectuelle afin d’en tirer le maximum de profit. Il a également exhorté les formateurs à donner aux séminaristes les connaissances et informations nécessaires en vue d’une parfaite préparation des échéances électorales qui les attendent.
Il les a invités à donner le meilleur d’eux-mêmes à travers des échanges de qualité.
PROMOUVOIR LA CULTURE la CCT-RDC INITIE UNE SOIREE DE VENTE AUX ENCHERES DES OEUVRES D’ARTS A DES FINS SOCIALES
Les membres des Chambres de Commerce du Togo et de la République Démocratique du Congo (CCT-RDC) ont annoncé au cours d’une conférence de presse animée le jeudi 24 novembre 2011 à l’hôtel PALM BEACH Lomé, l’organisation d’une soirée de vente aux enchères des œuvres d’art des artistes togolais et africains à des fins sociales le vendredi 25 novembre à Lomé.
Cette rencontre avec les professionnels des medias a permis à ces membres de présenter leur entité et de dévoiler les motivations et les contours de cette manifestation culturelle et humanitaire.
Dans sa déclaration liminaire, la présidente de la CCT-RDC, Abira Bonfoh a précisé que sa
structure créée en 2010 a pour vocation primordiale de privilégier les échanges commerciaux entre
les deux pays et partant créer un cadre d’investissements réciproque dans ces nations.
Pour Mme Bonfoh, en initiant cette soirée, la CCT-RDC entend montrer le savoir-faire des artistes plasticiens africains et contribuer au bien-être des couches vulnérables que sont les enfants.
A l’occasions, 60 oeuvres des artistes plasticiens africains comme Ayéva Médieva (Togo),
Lotutala Lo (Congo), Tapsoba Moussa (Burkina Faso) seront exposés et vendus aux enchères.
Les fonds récoltés seront destinés aux pédiatries des hôpitaux du Togo.
Selon la vice-présidente de la CCT-RDC, Fortunata Claparrone, les fonds récoltés seront mis à la disposition du ministère de la Santé et dont les décaissements aux pédiatries seront constatés par un notaire et un huissier.
Pour Mme Claparonne, le choix des pédiatries pour cette oeuvre sociale est motivée par les problèmes de soins (vaccination, maternité) que vivent les populations, car selon elle, penser aux enfants, c’est penser à l’avenir du pays. La CCT-RDC se veut une industrie de concret qui allie le business, la culture et la santé, a conclu Mme Claparonne.
L’ALLIANCE MNT INVITE LE GOUVERNEMENT A SE PENCHER SUR LES
MALADIES NON TRANSMISSIBLES
L’Alliance contre les Maladies Non transmissibles (Alliance
MNT-Togo) a animé une conférence de presse le mercredi 23 novembre dernier au centre communautaire de tokoin à Lomé, pour sensibiliser les populations sur ses activités et l’existence des maladies non transmissibles.
Pour le président, Dr. Damien Ekoué Kouvahey, l’Alliance MNT-Togo est née en août 2001 à cause de la négligence des maladies non transmissibles par les gouvernants qui oeuvrent plutôt pour celles transmissibles. Elle a pour objectif de contribuer à l’amélioration de l’état de santé de la population. Elle entend aussi sensibiliser et former les membres, organiser des activités telles quedes séminaires et ateliers.
Définissant les Maladies Non Transmissibles (MNT), Dr. Kouvahey a indiqué qu’elles sont des maladies chroniques souvent liées au mode de vie. Les principales sont les Maladies Cardiovasculaires (MCV) dont l’Hypertension Artérielle (HTA), le diabète, les cancers, les Maladies Respiratoires Chroniques (MRC), la drépanocytose, la santé mentale, les traumatismes.
Ces maladies constituent aujourd’hui la première cause de mortalité à l’échelle mondiale, a-t-il indiqué.
Après la présentation, Dr. Kouvahey a lu une déclaration dans laquelle l’Alliance MNT Togo décide et promet d’établir un partenariat avec l’Etat togolais, les agences onusiennes et multilatérales, les fondations, les ONG, les associations et le secteur privé pour la lutte contre les MNT au Togo. Elle envisage sensibiliser les populations pour la réduction de la consommation du sel alimentaire, du sucre, des huiles et de l’usage abusif de l’alcool.
Elle ambitionne faire un plaidoyer au gouvernement afin de réduire le coût ou de subventionner les médicaments antihypertenseurs, antidiabétiques et anticancéreux, de même que des bilans ou examens systématiques des maladies non transmissibles.
Aux parlementaires, l’Alliance se propose de les inviter à adopter des lois interdisant la commercialisation des produits alimentaires nuisibles à la santé.
LE BILAN DES AUDIENCES DE LA CVJR
La Commission Vérité, Justice et Réconciliation (CVJR) a tenu le jeudi 24 novembre 2011 à son siège à Lomé, un point de presse.
A l’occasion, le président de la CVJR Mgr Nicodème Barrigah-Bénissan a dressé le bilan des dépositions et des audiences et fait les projections par rapport au reste du travail, notamment le programme de réparations et le rapport final.
Les audiences publiques, à huis clos et en privé de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation (CVJR) entamées le 7 septembre 2011 ont pris officiellement fin le 17 novembre 2011.
De Lomé en passant par Dapaong, Kara, Sokodé, Atakpamé, Tsèvié, Aného et Kpalimé, les audiences ont duré 9 semaines.
Avant de passer à la phase suivante de son chronogramme, la CVJR a rencontré la presse le jeudi 24 novembre 2011 à son siège à Lomé pour faire le point de la situation.
Dans sa déclaration liminaire, le président de la CVJR, Mgr Nicodème Barrigah-Bénissan, a d’entrée rappelé que la Commission a parcouru le pays pour écouter, suivre et partager la relation des faits d’abus et de violations des Droits de l’Homme commis pour des raisons politiques, entre 1958 et 2005. Selon lui, « il fallait donner la parole aux victimes, aux témoins et auteurs présumés, non pas seulement en raison des exigences liées au droit de savoir, mais aussi et surtout parce que les audiences ont une forte vertu pédagogique » En effet a-t-il expliqué, elles exercent une fonction cathartique, libèrent des angoisses et permettent de tourner la page du passé.
508 dossiers étudiés En termes de bilan, il y à l’origine des audiences 20.011 dépositions recueillies puis 7.936 dossiers présélectionnés parmi lesquels 508 ont été retenus et étudiés à travers des audiences dont 424 publiques, 28 in camera, 51 en privé et 5 par vidéoconférence.
«A l’analyse des dossiers pris en audiences, il apparaît clairement que les clivages politiques et ethniques sont les premières causes des violences qui ont jalonné le cours de notre histoire nationale, notamment lors des consultations électorales. En effet, jusqu’à une époque récente, les rendez-vous des Togolais avec les urnes ont toujours coïncidé avec un déchaînement de violence dont le paroxysme a été atteint lors de la présidentielle de 2005 », a déclare Mgr Barrigah-Bénissan
Mais a-t-il souligné, les violences politiques ne sont pas les seules raisons des affrontements car elles sont plutôt comme des détonateurs des dissensions ethniques, conflits fonciers, problèmes de chefferie, abus administratifs, exactions des forces de défenses et de sécurité et de l’impunité.
Le prélat a terminé ce bilan en évoquant des préoccupations.
« La faible participation des populations aux audiences dans certaines régions, la rareté des aveux des auteurs présumés et la non comparution de certains acteurs-clés de notre histoire nationale », a expliqué Mgr Barrigah tout en se consolant du fait que d’autres commissions avant celle du Togo, se sont heurtées aux mêmes difficultés.
Pour finir, il a rappelé que « la Commission reste encore disponible pour écouter toute personne désireuse d’apporter sa part à l’entreprise de la vérité ».
Mgr. Nicodème-Barrigah a saisi l’occasion pour renouveler sa gratitude aux autorités, aux partenaires, aux populations, aux organisations de la société civile et aux médias pour leur sollicitude et leur soutien.
Les débats qui ont tourné autour des autres phases à venir, notamment les réparations et le rapport général, mais aussi de la question des membres de la Commission cités, la non comparution de la plupart des présumés auteurs et des témoins clés, ont mis fin à la rencontre.
LANCEMENT DES ACTIVITES DE LA CATO A LA CHAMBRE DU COMMERCE DE LOME
Le ministre du Commerce et de la Promotion du secteur Privé AHOUMEY- ZUNU Séléagodji, a procédé le lundi 21 novembre 2011, au lancement officiel des activités de la Cour d’Arbitrage du Togo(CATO).
La cérémonie qui a eu lieu à la chambre du commerce, a été suivie d’une conférence de presse en présence des opérateurs économiques, des hommes d’affaires et des institutions de l’Etat. Véritable tribune d’arbitrage, la CATO donne l’opportunité aux opérateurs économiques de régler leur litige dans la confidentialité avec la plus grande impartialité.
La mise en place de la cour, traduit la volonté politique de gouvernement de dynamiser le secteur privé et de moderniser la justice.
Toutes les dispositions sont prises afin de donner à cette cour une grande fiabilité.
FORUM DES ACTEURS SOCIOPOLITIQUES ET MILITAIRES A LA CHAMBRE DU COMMERCE DE L’INDUSTRIE
La Ligue Togolaise des Droits de l’Homme (LTDH), a organisé les 22 et 23 novembre à Lomé, un forum national sur l’éducation des forces de l’ordre et de sécurité aux droits humains et aux vertus démocratiques.
Le forum qui a regroupé les acteurs sociopolitiques et militaires a bénéficié de l’appui financier du National Endwment Democraty (NED).
Il vise à établir une relation de confiance entre les forces de défense et de sécurité, les partis politiques et les organisations de défense des droits de l’Homme. Elle a également permis d’outiller ces différents acteurs sur les notions des droits humains et de démocratie.
Elle a servi de cadre de débats et de propositions d’approches de solutions en vue de prévenir les violations des droits de l’Homme au Togo.
Les participants se sont familiarisés aux notions telles que la liberté de manifestation et de réunion, les arrestations arbitraires et détentions abusives, le caractère républicain d’une armée, le rôle et la responsabilité des médias en démocratie entre autres.
En ouvrant les travaux, le directeur de la législation et de la protection des droits de l’homme, Minekpor Kokou, a félicité les acteurs de défense des droits de l’Homme pour les multiples actions menées en vue de décrisper les relations entre les forces de l’ordre et de sécurité, les partis politiques et la population civile.
Pour l’attaché politique et économique de l’ambassade des Etats-Unis au Togo, John Kmetz, on ne peut pas avoir de démocratie sans les droits de l’homme. Selon lui, les manifestations publiques et leur encadrement par les forces de l’ordre font partie intégrante des vertus démocratiques.
Quant au président de la LTDH, Me Raphaël Kpanté-Adzaré, il a estimé qu’il s’avère urgent de trouver d’autres canaux pour accompagner le processus de réconciliation enclenché au Togo, d’où la nécessité de ce forum qui va se poursuivre dans les camps militaires à l’intérieur du pays en collaboration avec la société civile dans une dynamique de respect et d’écoute mutuels.
S’agissant de la justice internationale, il a fait savoir qu’en principe, la Cour Pénal
International est à saluer.
Seulement, a-t-il dit, on a l’impression qu’elle ne cible que les citoyens des pays pauvres.
A cet égard, le chef de l’Etat estime qu’il faut donner la chance à chaque Etat de juger les personnes coupables de crime, en renforçant les capacités des tribunaux nationaux et en initiant la réforme de la justice dans ces pays.
Ce faisant, on arriverait à faire en sorte que le tribunal international ait une durée de vie limitée.
CONFERENCE DE PRESSE DE PRESENTATION SUR L’ETUDE DE L’IAHP AU TOGO
Les objectifs et résultats du projet Assistance au gouvernement du Togo dans la prévention et le contrôle de l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène (IAHP) ont été présentés le mardi 22 novembre 2011 aux journalistes au cours d’une conférence de presse organisée par le ministère de l’agriculture avec le soutiens de la FAO à l’hôtel ibis Lomé.
Ce projet a pour mission de contribuer à la prévention et au contrôle de l’IAHP qui menace le cheptel et la population au Togo et dans les pays voisins. Le projet initié par l’Etat et exécuté par la FAO le 21 mars 2009 tire à sa fin. C’est dans ce contexte que l’équipe du projet en collaboration avec le Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche et ses partenaires financières ont présenté les objectifs et résultats du projet.
Selon le directeur du projet Dr ADOMEFA, les objectifs fixés par ce projet, dont le renforcement des services vétérinaires, le renforcement des capacités de réponse à un foyer d’IAHP et le renforcement de la biosécurité dans la filière aviaire ; ont été atteints. Pour lui, désormais le Togo dispose d’un laboratoire vétérinaire équipé qui peut faire sur place des analyses que le Togo faisait auparavant à Accra ; aussi des éleveurs qui sont suffisamment informés sur la notion de biosécurité. Une remise de document dans la prévention de l’influenza aviaire a mi fin à cette rencontre.
Notons que ce projet a été financé par l’UE à hauteur de 1 9400 000 Euros.
DES ARTISTES MUSICIENS TOGOLAIS FORMES A LOME AU SIEGE DE CAFE INFORMATIQUE
L’atelier de formation et de renforcement des capacités des artistes musiciens du Togo dans le domaine des Nouvelles Technologies de l’Information et de la
Communication (TIC) ouvert le 17 octobre a pris fin le vendredi 18 novembre à Lomé avec la remise des attestations aux bénéficiaires.
Initiée par le Syndicat des Artistes Interprètes et Auteurs Compositeurs du Togo (SARIAC) et le Centre d’Assistance de Formation et d’Education (CAFE Informatique), cette rencontre a bénéficié de l’appui technique et financier du Fonds National d’Apprentissage, de Formation et de Perfectionnement Professionnel (FNAFPP).
Elle a permis aux artistes musiciens de cerner les outils indispensables à la promotion en ligne de leurs oeuvres.
Ils ont suivi des modules relatifs aux généralités sur les micro- ordinateurs, à la création de sites web et à l’utilisation d’images. Les participants ont été également initiés aux techniques d’utilisation de Windows, outils classiques de Facebook et Badoo.
La représentante du ministre des Arts et de la Culture, Mme Virginie Ameke a félicité les organisateurs de ce séminaire qui rendra les articles plus opérationnels en matière de production et de distribution de leurs produits.
Elle a exprimé sa gratitude au FNAFPP pour son soutien en faveur des
acteurs et promoteurs culturels
Le président du comité de gestion du FNAFPP, Venance Agomé a réitéré la disponibilité de sa structure à accompagner les artistes et souhaité que cette formation leur apporte un souffle nouveau afin qu’ils soient compétitifs sur le marché international.
Les présidents du SARIAC et de CAFE Informatique respectivement Basile Adewusi et Jean- Marie Noagbodji se sont réjouis de l’assiduité et du sérieux dont les séminaristes ont fait preuve.
Ils leur ont demandé de mettre à profit les connaissances acquises au service de la musique togolaise.
Les bénéficiaires ont, de leur côté, exprimé leur satisfaction pour le bon déroulement des cours et le matériel didactique mis à leur disposition.
DES ARTISTES MUSICIENS TOGOLAIS FORMES A LOME AU SIEGE DE CAFE INFORMATIQUE
L’atelier de formation et de renforcement des capacités des artistes musiciens du Togo dans le domaine des Nouvelles Technologies de l’Information et de la
Communication (TIC) ouvert le 17 octobre a pris fin le vendredi 18 novembre à Lomé avec la remise des attestations aux bénéficiaires.
Initiée par le Syndicat des Artistes Interprètes et Auteurs Compositeurs du Togo (SARIAC) et le Centre d’Assistance de Formation et d’Education (CAFE Informatique), cette rencontre a bénéficié de l’appui technique et financier du Fonds National d’Apprentissage, de Formation et de Perfectionnement Professionnel (FNAFPP).
Elle a permis aux artistes musiciens de cerner les outils indispensables à la promotion en ligne de leurs oeuvres.
Ils ont suivi des modules relatifs aux généralités sur les micro- ordinateurs, à la création de sites web et à l’utilisation d’images. Les participants ont été également initiés aux techniques d’utilisation de Windows, outils classiques de Facebook et Badoo.
La représentante du ministre des Arts et de la Culture, Mme Virginie Ameke a félicité les organisateurs de ce séminaire qui rendra les articles plus opérationnels en matière de production et de distribution de leurs produits.
Elle a exprimé sa gratitude au FNAFPP pour son soutien en faveur des
acteurs et promoteurs culturels
Le président du comité de gestion du FNAFPP, Venance Agomé a réitéré la disponibilité de sa structure à accompagner les artistes et souhaité que cette formation leur apporte un souffle nouveau afin qu’ils soient compétitifs sur le marché international.
Les présidents du SARIAC et de CAFE Informatique respectivement Basile Adewusi et Jean- Marie Noagbodji se sont réjouis de l’assiduité et du sérieux dont les séminaristes ont fait preuve.
Ils leur ont demandé de mettre à profit les connaissances acquises au service de la musique togolaise.
Les bénéficiaires ont, de leur côté, exprimé leur satisfaction pour le bon déroulement des cours et le matériel didactique mis à leur disposition.
LES COMMERCANTS ET ELEVES INFORMES SUR LA PROBLEMATIQUE DES
SACHETS NON BIODEGRADABLES
L’Observatoire Ouest Africain de l’Environnement (OOAE) en collaboration avec le collectif des ONG sur les questions environnementales a entretenu les grossistes et détaillants des sachets plastiques du grand marché d’Adawlato et les élèves du lycée technique d’Adidogomé respectivement les 17 et 18 novembre sur la problématique des sachets et emballages plastiques non biodégradables et sur leur décret d’interdiction.
Selon le directeur exécutif de l’OOAE, Ambroise Yawo Kpondzo ces rencontres visent à sensibiliser les commerçants et les élèves sur les dangers de l’utilisation des sachets plastiques et les emmener à opter pour ceux biodégradables. Il s’agit aussi de les renseigner sur le décret du 5 janvier 2011 portant interdiction de l’achat et de la vente de ce produit.
Abordant les dangers liés à l’utilisation des sachets plastiques non biodégradables, M. Kpondzo a indiqué qu’ils tuent les animaux lorsque ceux-ci les consomment, précisant que leur durée d’existence est de 400 ans. Ils empêchent le ruissellement des eaux des rigoles occasionnant ainsi des inondations et la fumée de ces sachets plastiques provoque des maladies pulmonaires, a-t-il ajouté.
M. Kpondzo a invité les grossistes et détaillants des sachets plastiques non biodégradables à éviter leur achat auprès des industriels. En attendant la production des sachets plastiques dégradables qui ont une durée de 18 mois d’existence, le directeur exécutif de l’OOAE a exhorté les grossistes et détaillants à encourager leur importation.
Aux élèves, le directeur exécutif leur a demandé de véhiculer l’information auprès de leurs parents. Les commerçants ont demandé à l’OOAE de plaider leur cas auprès des industriels afin que le prix et les formats du nouvel article soient conformes à celui de l’ancien produit.
LA FTBC DEPLORE LA DEGRADATION DU NIVEAU DE VIE LIEE A LA HAUSSE DU PRIX DES PRODUITS PETROLIERS
La Fédération des Travailleurs du Bois et de la Construction FTBC affiliée à la Confédération Syndicale des Travailleurs du Bâtiment et du Bois a organisé le samedi 19 novembre à Lomé une conférence de presse sur «La dégradation du pouvoir d’achat des travailleurs suite à la hausse des prix des produits pétroliers».
L’objectif de cette conférence est d’informer de sensibiliser et de mobilier le public et les différentes organisations syndicales sur les actions futures en vue de contraindre le gouvernement à mettre en application les engagements pris les 4 et 11 août dernier relatifs à la politique à adopter pour la diminution du prix des produits pétroliers.
Le secrétaire général de la FTBC, Gbandjou Ayao, a déploré le fait que les engagements envisagés par le gouvernement en vue de la suppression de certaines taxes relevant du domaine de la commercialisation des produits pétroliers ne soient pas été respectés.
Selon M. Gbandjou, la souffrance de la population est liée à la hausse du prix des produits pétroliers, c’est pourquoi des efforts doivent être poursuivis pour amener le gouvernement à respecter les engagements qu’il avait pris.
ATELIER SUR LA PROTECTION DES PASSAGERS DANS L’ESPACE L’UEMOA
Un séminaire national de sensibilisation sur la réglementation communautaire de l’UEMOA relative à la protection des passagers dans l’espace aérien s’est tenu le lundi 21 novembre 2011 à l’hôtel IBIS LOME CENTRE
Il s’agit pour les responsables des transports Aériens des Etats membres de l’Union d’évaluer la portée des textes communs afin d’adopter des instruments juridiques relatifs aux compensations des passager suite à un report d’un vol d’avion.
La réunion de Lomé se veut être un cadre de dialogue et de concertation où les Etats membres de l’UEMOA doivent réfléchir à l’adoption des textes communs visant à dédommager les passagers dont le vol est annulé ou reporté.
Il s’agit également pour les sociétés aéroportuaires de l’union de professionnaliser les transporteurs aériens pour une responsabilité effective.
Pour la directrice des transports aériens et du tourisme de l’UEMOA, Irène SEKA, le présent atelier constitue un nouveau point de départ pour les sociétés de transport aérien de l’espace.
L’atelier prendre fin le mardi prochaine.
JOURNE D’INFORMATION SUR L’ARTISANAT EN COURS DE VALIDATION AU TOGO Ce document une fois validé devrait permettre de disposer de systèmes de collections, de traitement et de diffusion des informations sur le secteur de l’artisanat, qui est porteur de croissance et emploi 12% de la population au Togo. Ce document devrait également permettre de parvenir à l’archivage les données du secteur artisanal afin de connaître l’environnement des affaires de ce secteur, ainsi que ses différentes branches d’activités. |
FESTKPE 4 EDITION A SOKODE ENTRETIENT AVEC le Coordinateur Général de Togo culture Plus, Bassirou Ayéva |
« ...J’AI L’IMPRESSION QUE NOS GOUVERNANTS NE COMPRENNENT PAS QUE LA CULTURE PEUT ÉGALEMENT ÊTRE UN LEVIER DU DÉVELOPPEMENT… »
Dès son lancement en 2008, le FESTÉKPÉ s'est révélé être un évènement culturel majeur, non seulement dans le septentrion du Togo, mais également sur le plan national et international. Au fil des éditions donc, le FESTÉKPÉ ne cesse de s'imposer et de se diversifier avec de produits nouveaux, comme ce Tournoi de Football dénommé Tournoi de l'Amitié Germano Togolaise. Réservé aux moins de 17 ans, cette compétition lancée lors de l’édition de 2010 se verra enrichie cette fois de la participation d'une équipe dune quinzaine de jeunes Allemands. Pour en savoir plus sur l'organisation de la prochaine édition, découvrir la spécificité de ce cru 2011, nous avons, comme à notre habitude, à chaque veille de ce rendez-vous culturel, rencontré M. Bassirou AYÉVA, Coordinateur Général de Togo Culture Plus. Avec lui, nous avons pénétré les coulisses du Festival. Nous en avons profité pour lui demander de nous livrer sa lecture de la vie politique au Togo… au lendemain du retentissant procès dit « d’atteinte à la sûreté de d’État », à l’heure où se poursuivent les auditions de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation et vont bon train les interprétations de l’arrêt de la Cour de Justice de la CEDEAO sur l’exclusion des neuf (9) députés de l’ANC de l’Assemblée.
Infos-Togo Parlons d’abord de vous. Vous venez de publier au Sujet Verlag (Sujet Édition) à Brême en Allemagne, un recueil de poèmes, y a- t- il un lien de coïncidence de cette publication et la tenue prochaine du Festival ?
Bassirou Ayeva- C’est un hasard de calendrier. Mais la sortie de ce recueil intitulé: «Cahier d’exil », nourrit également la chose culturelle. Elle l’enrichit. Ma publication est une chose et le Festival en est une autre, même si l’un peut compléter l’autre et vice versa.
Infos-Togo Pouvez-vous nous parler de ce recueil qui survient après les livres « Miroir d’un rêve brisé » ou « Lettre à Rissa » et « Au-delà- des Apparences », ouvrages tous à la saveur politique ?
B A- Je me suis toujours laissé aller aux rêves pour un autre monde, pour un Togo plus vivable, plus juste, disons pour un Togo où l’homme cessera d’être un loup pour un autre homme. Avec les récents déballages sur la torture dans notre pays, je ne peux rester insensible. Ce recueil illustre quelques-unes de ces sensations, de ces cris de détresse, d’espoir que j’ai voulu porter à l’attention du public. Il se veut une photo instantanée d’une personne poussée vers le départ par la force brute. Même si le titre est : « Cahier d’exil », il m’arrive parfois de poser la question de savoir si je suis encore un exilé ?
Ce travail n’échappe pas à la triste réalité politique au Togo où malgré quelques éclaircis, des nuages continuent de s’amonceler…car aussi on continue de faire du sur place, pour ne pas dire de la diversion. Les choses ne sont pas aussi claires qu’on l’aurait souhaité ou comme on veut nous le faire admettre, tant sur les plans institutionnel, économique, sociale, scolaire, universitaire, sanitaire que sur celui des droits humains avec toutes les révélations que nous avons entendues et bien sûr d’autres restrictions ou privations de liberté de certains citoyens.
Infos-Togo Votre analyse rétrospective sur le fameux procès qu’a connu notre pays à propos de l’affaire dite Kpatcha pour atteinte à la sureté d’État ?
B.A- Il serait prétentieux de dire que je peux analyser quoi que ce soit dans cette affaire de famille. Mieux, je dirais dans cette affaire d’héritage. Cela m’a fait de la peine que la vie d’un pays batte au rythme saccadé d’une querelle familiale.
Je me suis simplement souvenu du titre évocateur d’une œuvre d’un des doyens de la littérature togolaise, feu Félix Couchoro à savoir: « L’héritage, cette peste », publié en 1963 à l’Éditogo.
Tout est dit dans ce titre. Le pays tout entier doit-il souffrir de cette peste ? Pouvons-nous plutôt revenir au FESTIVAL 2011, pour lequel vous avez sollicité cet entretien ?
Infos-Togo - Oui, alors, M. le Coordinateur général, comment présentez-vous l’édition 2011 du FESTÉKPÉ ?
B.A- Le FESTÉKPÈ 2011, illustrera la maturité de l’équipe qui a initié ce projet et qui l’anime. Le spectacle montera d’un cran et démontrera davantage plus d’originalité et d’attrait. D’ailleurs, à ce niveau de l’entretien je voudrais saluer la ténacité et la persévérance de mes sœurs et frères du Togo, des États-Unis d’Amérique, de Suède, de France, d’Angleterre et bien sûr d’Allemagne, toutes et tous, acteurs de cette aventure culturelle fédératrice et qui donne enfin une visibilité à une entité négligée, pour ne pas dire sacrifiée. C’est l’ensemble de cette ressource humaine de la Diaspora et de l’intérieur qui a rendu possible la concrétisation de ce projet, véritable rêve il y a peu de temps. Je saisis également cette occasion pour dire notre gratitude à Mme Ilse Fliege, Consul du Togo dans les États de Hambourg, Schleswig-Holstein et Brême qui a accepté d’accompagner cette fête de l’expression culturelle depuis sa naissance.Le rendez-vous de 2011 fixera encore plus l’attractivité du Festival et comportera des surprises. Cette fois, en dehors de la musique, la danse, et des prestations relevant du paranormal ou du mystique, la fête sera au sport. L’engouement des Togolais et encore plus des populations Tém pour le football n’est plus à démontrer. On ne citera jamais assez le Club Sèmassi de Sokodé -d’hier-, les acteurs tels que OURO Abass, ISSA Sakibou, ESSOWAZINA Sanounou, ALLASSANI Nassirou ou autre Ibrahim Mayenga… des footballeurs qui ont marqué d’une empreinte indélébile l’histoire -aujourd’hui vacillante- du football togolais. Ainsi, Togo Culture Plus qui veut revaloriser la culture Tém, s’est engagée à faire émerger une nouvelle race de talents et œuvre en même temps pour le brassage des peuples. Ainsi, le TOURNOI DE L’AMITIÉ GERMANO TOGOLAISE, inauguré lors de la précédente édition, connaîtra une participation effective de jeunes Allemands. Cette participation n’est rendue possible que grâce à la coopération entre Togo Culture Plus et le Buntkickgut, une association Bavaroise de sport de masse. Pourquoi un Tournoi de l'Amitié Germano Togolaise? L’Allemagne a un passé historique avec le Togo. Et puis vous n’êtes pas sans savoir que les douloureux évènements que notre pays a connus à partir des années 90 dans sa quête de démocratie et de liberté ont poussé un grand nombre de togolais à aller à la recherche de leur survie… en Allemagne. Aujourd’hui la RFA compte une très forte communauté de Togolais, parfois de deux générations. Ces Togolais d’Allemagne, peu d’Allemands les connaissent. Ils ne connaissent pas leur pays d’origine, encore moins leur culture. À travers ce tournoi, nous voulons rapprocher davantage les deux peuples, à partir du brassage entre les deux jeunesses.
Infos-Togo -Une telle entreprise requiert logiquement la reconnaissance de l’État. Ce dernier vous soutient-il financièrement ? Sinon, comment parvenez-vous à financer cette grosse machine qu'est le Festival, et aujourd’hui le tournoi de football ?
B.A- Ce que j’observe chaque fois que je retourne au pays est hallucinant, attristant et révoltant pour tout dire : d’un côté une misère qui ne fait que s’accroitre et de l’autre, la nouvelle bourgeoisie insolente, celle-là que certains journaux traitent de « nouveaux riches » qui s’affichent de façon ostentatoire voire provocatrice. Et entre les deux, se creuse le lit du pessimisme, du fatalisme, de la peur du lendemain pour les plus jeunes. Dans ce décor apocalyptique que d’autres compatriotes ont déjà décrit avec une aisance déconcertante et affligeante, il y a des talents, des créateurs, qui ne demandent qu’un coup de pouce non pas seulement du destin, mais de l’État, pour éclore. Hélas, je remarque attristé que nos gouvernants ne comprennent toujours pas que la culture est également un des leviers du développement, un puissant moyen de lutte contre le dénuement et un vecteur de l’image du pays. Nous devons dépasser les discours, la rhétorique endormante ou démagogique pour poser des actes, mener des actions vigoureuses pour la promotion culturelle et touristique qui est un levier important mais longtemps négligé du développement. Ici, lorsque certains de nos interlocuteurs européens visionnent les vidéos du Festival, ils sont impressionnés à la fois par l’impact populaire du projet et la qualité artistique des prestations. Mais quand je leur apprends qu’en dehors du soutien moral qu’il apporte à travers la présence du Ministre de la Culture à l’ouverture, l’Etat ne soutient pas financièrement le projet, et que seule une société de la place, Togocel, nous accompagne en plus de nos propres contributions et l’appui de notre marraine, ils n’y comprennent plus rien.
Dommage que ce comportement des gouvernants contribue à décourager les bonnes volontés prêtes à s’investir dans divers domaines dans la lutte contre la pauvreté. Parfois, face aux difficultés rencontrées, ces volontés s’en ressortent frustrées par tout ce qu’elles découvrent sur le terrain. Le FESTÉKPÉ offre une grande visibilité pour la promotion de toute entreprise ou de tout produit. Mais au Togo, ni les sociétés d’État, ni les sociétés privées ne se bousculent pour sponsoriser ce festival, contrairement à la débordante fièvre de clientélisme et de générosité que ces sociétés affichent à certaines occasions… Je suis persuadé, comme je le disais que tout bon directeur de marketing devrait se presser pour sponsoriser les activités du Festival. Car celui-ci est également une porte de distribution de produits non seulement connu sur le plan régional, mais vers l’hinterland et vers les pays du Sahel. Tout produit dont la promotion aura été assurée pendant le Festival rayonnera donc au-delà des frontières togolaises.Pour pallier à ce manque d’engagement de l’État, je souhaite que les organisateurs d’évènements aussi populaires que les Festivals créent et travaillent en réseau. Cela leur permettrait d’échanger des informations, des expériences et même de se soutenir matériellement. C’est un appel auquel nous devons réfléchir.
Infos-Togo - Même si vous vous êtes revêtu de votre manteau d'homme de culture, vous ne parviendrez pas à vous départir de votre profil d'homme politique. Dans ce cas, quelle est votre position sur la situation politique actuelle du Togo.
B.A- Je crois m’être déjà exprimé sur la situation politique de notre pays. Nous avons tous intérêt à œuvrer pour la quête de la démocratie apaisée. Mais, une question se pose et la même depuis des décennies. C’est l’hégémonie du parti au pouvoir qui ne veut pas du tout inclure le mot partage, je veux dire partage du pouvoir, dans son vocabulaire. Dans ce contexte, le doute va perdurer et avec lui, l’instabilité. Et ce n’est pas le nouveau parti annoncé qui changera de stratégie dans son désir de conserver le pouvoir. Les acteurs politiques de tous bords, chez nous se disent parler, dialoguer ou se battre au nom du peuple ou pour le peuple, mais j’avoue que c’est plutôt en leur nom propre. Je ne vois pas un seul qui prenne en compte les souffrances du peuple. Actuellement le dialogue et les travaux de la CVJR occupent l’actualité. Tant que le doute, la suspicion et le manque de confiance continuera de planer au-dessus de ce dialogue, il sera de même goût que les précédents dialogues où le plus fort a toujours profité pour imposer ses règles. Quant à la CVJR, je souscris à sa démarche. J’ai même fait des dépositions lors de mon dernier passage au pays. Je l’ai même soutenu lorsqu’elle était venue ici. Mais le Togo n’est pas l’Afrique du sud. Je n’attends donc pas de miracle…Mais au cours des derniers jours il y a un témoignage dans lequel je me suis senti interpellé. C’est celui de l’ex-premier Ministre de feu Eyadèma, M. Agbéyomey Kodjo. M. Agbéyomey n’a à l’époque montré aucun signe de compassion face au drame. Mais de grâce, M. le Ministre de l’Intérieur de l’époque, un des ténors les plus zélés du RPT, ne devrait pas se dédouaner aussi facilement. Avec autant de légèreté, sa sortie ressemble ni plus ni moins qu’à une insulte à la mémoire de nos martyrs. M. Le ministre de l’Intérieur était informé du massacre programmé. Il n’était pas associé, à l’en croire, et il ne pouvait pas l’empêcher non plus. Alors pourquoi ne pas alerter le monde à travers les médias ? Pourquoi ne pas démissionner de son poste ? Pourquoi laisser tuer ses compatriotes ? Comment explique- t-il le fait que le lendemain, il justifiait ce massacre ? Les macabres images qui ont témoigné. de cette boucherie, ont été réalisées par les soins du Mo5 dont j’étais le premier responsable au moment des faits.
Infos-Togo - Comme on le voit, tu es amer, voire dépité…
B.A - Oui, je suis dépité. Plus que dépité. Chacun se moque des Togolais. On nous prend pour des amnésiques. Mais osons croire que nous aurons un sursaut d’orgueil et d’amour propre pour notre pays. C’est d’ailleurs le sens de notre Festival où la politique partisane n’a pas sa place. Nous sommes de différentes ethnies, de différentes confessions religieuses ou de catégories sociales professionnelles, et d’opinions diverses à travailler pour son succès.
Infos-Togo - On ne vous a pas entendu depuis l’éclatement de l’UFC.
B.A - Cela ne méritait pas de commentaire. Seulement j’étais surpris, même amusé que ce soit seulement en ce moment que certains caciques de ce parti découvraient le vrai visage de leur leader lui aussi incontesté… à l’époque. À propos du retour des députés de l’ANC au Parlement, je souhaite seulement que le pouvoir cesse de se ridiculiser… Car quand on est membre d’une organisation et qu’on ratifie les traités et les conventions, il faut pouvoir les appliquer, appliquer les décisions.
Infos-Togo - Votre mot de fin.
B.A Le pessimisme et le désespoir ne doivent pas nous habiter malgré l’énormité du chantier de construction de notre pays. Tout en nous battant pour une quête de justice et de démocratie, nous devons créer des espaces de vie, d’espoir, de persévérance, et de rêve comme c’est l’objectif de ce Festival et aujourd’hui de ce tournoi de football pour jeunes. C’est le sens de la création de ce rendez-vous culturel et sportif, dont le thème est resté le même : « La culture comme élément identitaire et facteur de développement et de l’intégration ». Je donne rendez-vous à toutes et à tous les 9, 10 et 11 Décembre à Sokodé pour vivre ces trois jours de fête.
Brême, Allemagne. Entretien réalisé par Ali Tchassanti
Selon Madame la Ministre de la Promotion de la Femme Henriette Koédjo AMEDJOGBE le gouvernement s’implique également dans la lutte contre la violence faites aux femmes. Plusieurs actions sont menées dans ce sens. La formation prendra fin ce vendredi.
MEILLEURE EXECUTION DES TRAVAUX D’INFRASTRUCTURE
Un séminaire de formation des entreprises et des bureaux d’études du Togo se déroule du 9 au 24 novembre à Lomé.
Il est organisé par l’Association des Agences d’Exécution des Travaux d’Intérêt
Public (AFRICATIP) et sa partenaire l’Agence d’Exécution des Travaux Urbains au Togo (AGETUR-Togo), avec l’appui technique et financier du Centre pour le Développement de l’Entreprise (CDE).
Ce séminaire vise à renforcer les capacités des entreprises partenaires des Agences (bureaux d’études, PME du secteur des BTP, cabinets d’architecture) en vue de relever leurs compétences à travailler avec les AGETIP afin qu’elles puisent étudier, rédiger et superviser des travaux d’infrastructures conformément à la règle de l’art et dans les délais contractuels.
Les participants seront outillés en montage de Dossiers d’Appel d’Offre, en maîtrise des coûts et des prix, en planification des chantiers, en travail en équipe et en gestion des relations avec l’agence.
Ils feront à terme des recommandations et définiront de nouvelles orientations en vue de l’harmonisation des pratiques au niveau des agences.
Le président de l’AFRICATIP, Tiécoura Coulibaly a souligné que le besoin constant d’actualisation et de renforcement des capacités d’intervention est nécessaire dans chacun des 18 pays membres. Il a précisé qu’à ce jour, le volume des travaux exécutés par les agences d’exécution s’élève globalement à plus de 5 milliards de dollars US.
Pour le directeur de l’AGETUR-Togo, Momboza Halaoui, ce séminaire est un appel aux participants à mieux faire pour relever le niveau de compétence de leurs entreprises. Il les a invités à être attentifs aux exposés pour tirer profit de cette formation.
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SEMAINE MONDIALE DE L’ENTREPRENEURIAT
LES JEUNES RENFORCENT LEURS CAPACITÉS EN LEADERSHIP
Un millier de jeunes renforcent leurs capacités en leadership entrepreneurial au cours d’un atelier, du 14 au 20 novembre à Lomé.
Initié par l’ONG Initiatives des Jeunes pour le Développement (IJD) en partenariat avec Global Entrepreneurship Week (GEW),
cette rencontre vise à mobiliser les jeunes togolais pour favoriser l’émergence d’une génération d’entrepreneurs, d’innovateurs et de réalisateurs de changement.
Les participants seront instruits sur les thèmes tels que « L’entrepreneuriat et le développement durable » et « Comment démarrer et gérer les entreprises ».
Il est également prévu une caravane des jeunes leaders qui sillonnera les rues de Lomé pour conscientiser le public sur la protection de la nature, la lutte contre les violences, les conflits, le VIH/SIDA et les maladies incurables.
La représentante du ministre du Commerce et de la Promotion du secteur privé, Amégnran Ayélé a invité les jeunes à participer aux diverses activités durant toute la semaine, expliquant que même si l’Etat consent à offrir de l’emploi aux jeunes, il ne peut cependant pas satisfaire tous les diplômés.
Pour elle, le gouvernement est prêt à accompagner les initiatives économiques des jeunes et il appartient à ceux-ci d’avoir l’esprit de créativité afin d’assurer leur auto-emploi.
Pour sa part, le directeur exécutif de l’IJD, Pascal Abové a souligné que la semaine mondiale de l’entrepreneuriat démontre aux jeunes leur potentiel d’auto-démarreur de croissance et leur offre la possibilité de bénéficier des dispositions de réseautage, de mentorat et même financières pour l’essor de l’entrepreneuriat.
Créée le 20 février 2000, l’IJD a formé près de 1600 jeunes entrepreneurs
LES ENSEIGNANTS DEMANDENT AU GOUVERNEMENT L’ACCELERATION DE L’EXECUTION DE LA PLATEFORME REVENDICATIVE
La coalition des fédérations des travailleurs de l’Enseignement du Togo a tenu le mercredi 10 novembre dernier à Lomé au siège de la CSTT une conférence de presse pour expliquer l’état d’exécution de la plateforme revendicative adressée au gouvernement.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des actions visant l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants du Togo. Elle a permis d’informer les acteurs du monde éducatif sur le bilan de la plateforme revendicative et d’interpeller le gouvernement sur la lenteur d’exécution de celle-ci. Le porte-parole de la coalition, Goeh Akoué Adovi a déclaré que le gouvernement a ssuré
lors de leurs échanges que les revendications seront prises en compte par la nouvelle grille de la fonction publique intégrée au budget de l’année 2012.
Il a souligné en outre que la coalition s’indigne du fait que les discussions budgétaires aient commencé sans faire allusion à la nouvelle grille de la fonction publique.
Auparavant, le deuxième porte parole, Vissikou Senouvo avait fait ressentir la détermination du corps enseignant à défendre jusqu’au bout cette plateforme revendicative. Il a indiqué que cette dernière se résume au 15 points que sont entre autre le payement des arriérés de salaire des secteurs confessionnels notamment ceux du collège Saint Joseph, la retrocédation des retenus sur les salaires du mois d’août 2009 des enseignants du secteur public, l’abrogation de décret et arrêté instituant le corps particulier des enseignants auxiliaires et volontaires et la mise en oeuvre de la nouvelle grille de le fonction publique et des avantages afférents à compter de janvier 2012.
Composée de six (6) fédérations, FENSYET, FE-CNTT, FESEN, FESET, FETREN-UNSIT et USET, la coalition vise à briser le cercle vicieux de la politique de diviser pour régner et à lutter pour la dignité de l’enseignant togolais disponibilité à soutenir le Togo dans sa contribution à l’effort mondiale de l’éradication de la poliomyélite pour assurer un avenir plus radieux aux enfants de ce pays.
37 ANS DE CARRIERE DE L’ARTISTE AFIA MALA:
L’artiste togolaise de la chanson, Afia Mala surnommée « La Diva de la musique togolaise» ou «la princesse des rives du Mono» a dévoilé le programme des festivités marquant la célébration de ses 37 ans de carrière au cours d’une conférence de presse tenue le jeudi 10 novembre à Lomé.
Cette rencontre a permis au public de découvrir davantage les oeuvres de l’artiste et les actions sociales qu’elle mène.
Dans une déclaration liminaire, la Princesse des rives du Mono a précisé qu’en 2009, elle avait envisagé organiser une série de manifestations musicales pour marquer ses 35 ans de carrière, mais par manque de sponsors et de soutien son rêve ne s’était pas réalisé.
Cette célébration placée sous le thème: «Droit à la scolarisation de nos enfants et le bien être de la mère» sera marqué par diverses manifestations entre autre deux concerts inédits, le 16 décembre à l’hôtel Eda Oba et le 17 au stade de Kégué. Afia Mala sera accompagnée pour la circonstance par des artistes togolais et étrangers et surtout du groupe musical Cubain « Orquesta
Aragon» avec qui elle a réalisé son huitième et dernier album en 2008 baptisé «Afia Mala à Cuba avec Orquesta Aragon».
Elle fera également une tournée dans les cinq régions du Togo où elle échangera avec les jeunes artistes de la chanson en vue de les motiver à la persévérance.
Pour la vedette, l’éducation, l’épanouissement des enfants et le bien-être des mères restent ses préoccupations premières. A cet effet, elle a crée en 1998 la Fondation «Vie et vivre» pour soutenir les enfants et les mères.
La conférencière n’a déclaré que les fonds récoltés au cours des deux concerts seront reversés dans la caisse de cette fondation.
Au début du mois de décembre, les responsables de cette fondation inaugureront un bâtiment scolaire de trois classes, d’un bureau et une bibliothèque à Sakpé dans la préfecture de Vo.
Le représentant du ministre de la Culture et des Arts, M. Edoh Akakpo a salué la grandeur de cette artiste qui, selon lui, est au firmament de son art et fait la fierté du peuple togolais. Il a convié les autres artistes à suivre le pas de leur «grande- soeur».
De son vrai nom, Afiwavi Mawulana Missohou, l’artiste originaire de la préfecture de Vo, fait de la Salsa.
A travers ses chansons elle véhicule des messages d’amour, de paix, de persévérance et de lutte contre l’injustice.
La CVJR A REPRIS LES AUDIENCES A LOME |
LE CPDC EDIFIE DE NOUVEAU SUR LES REGIMES POLITIQUES
Le Cadre Permanent du Dialogue et de Concertation (CPDC) a tenu sa 6e réunion ordinaire le mardi 8 novembre à Lomé.les membres du cadre permanent du dialogue échanger sur les types de régime politique Monsieur Pascal Bodjona représentant le gouvernement.
Au cours de cette rencontre, les membres ont écouté de nouveau les professeurs Fambaré
Natchaba, et Zeus Ajavon sur les contre pouvoirs nécessaires à la mise en oeuvre des régimes présidentiel et semi-présidentiel.
Le prochain rendez-vous est fixé au jeudi 10 novembre et sera consacré au choix d’un régime politique
SEMINAIRE DE SENSIBILISATION ET DE FORMATION DES ACTEURS DE L’ECONOMIE INFORMELLE
Le Syndicat des Vendeurs de Matériaux de Construction du Togo SYVEMACOT et la Faîtière Nationale des Travailleurs du Secteurs Informel (FAINATRASIT) ont initié les 3 et 4 novembre à Lomé un séminaire de sensibilisation et de formation des acteurs de l’économie informelle.
Appuyé par l’ONG Street Net International et placé sous le thème «Le recrutement des travailleurs de l’économie informelle dans une organisation démocratique», cet atelier a regroupé une trentaine de participants dont 20 femmes issues de différentes organisations de base.
Il a permis de renforcer les capacités des participants en technique de gestion et de partager leurs connaissances sur le lobbying pour la mise en place d’une structure de protection sociale des travailleurs de l’économie informelle.
Durant les deux jours, les séminaristes ont renforcé leurs connaissances à travers des modules consacrées à la gestion des ressources matérielles et financières, aux stratégies de recrutement des membres dans l’organisation syndicale, à la gestion quotidienne des problèmes des acteurs de l’économie informelle. Ils ont été aussi renseignés sur l’esprit de la convention 87 de l’OIT et la contribution des acteurs de l’économie informelle au développement économique et sociale.
Ils ont également formulé et adopté des résolutions ainsi que des recommandations, à l’endroit du gouvernement lui demandant de créer un cadre juridique et institutionnel des acteurs de l’économie informelle et la police municipale.
La présidente de FAINATRASIT, Toublou Mawussi Catherine a exhorté les séminaristes à mettre en valeur l’équité genre dans le développement socio économique à partir des acquis de cette rencontre. Elle les a également encouragés à œuvrer pour la promotion du secteur informel.
LE SYNTRASEMTO ETAIS EN CONGRES CONSTITUTIF
Le Syndicat National des Travailleurs des Sociétés d’Entreprises de Manutentions Maritimes du Togo-SE2M/SE3M (SYMTRASEMTO) a été
porté sur les fonts baptismaux le vendredi 4 novembre2011 à Lomé au siège de la CSTT , au terme d’un congrès constitutif.
A l’issu du congrès, Badjaglana Gouthe a été élu secrétaire général du nouveau Syndicat pour un mandat de quatre ans Il dirige un bureau de 13 membres.
Affilé à la Fédération des Syndicats des Transports du Togo (FESYTRAT) et à la
Confédération Syndicale des Travailleurs du Togo (CSTT), ce nouveau syndicat a pour objectif de défendre dans l’unité, les intérêts matériels et professionnels de ses membres pour leur épanouissement.
Il se veut également un mouvement de partenariat et de négociation au service de tous les travailleurs permanents et contractuels dans les entreprises.
Au cours des travaux, les participants ont amendé et adopté les statuts et règlements intérieurs du syndicat et formulé des résolutions et recommandations à l’endroit de leurs employeurs.
Celles-ci sont relatives à la revalorisation des salaires; à l’adoption d’une convention collective; au recyclage permanent des travailleurs des sociétés, au respect des règles de sécurité et de santé sur les lieux de travail.
Le secrétaire confédérale à l’administration et aux archives de la CSTT, Agbo Komlavi François a invité le bureau et les membres du syndicat à avoir une vision de solidarité, d’unité et de motivation en vue de bien coordonner leur activité durant leur mandat.
Le secrétaire général, Badjaglana Gouthe a témoigné sa gratitude aux congressistes pour la confiance placée en lui à la tête de ce syndicat. Il a promis d’œuvrer avec l’aide de ses camarades pour l’atteinte de leurs objectifs.
VILLAGE DES ARTISTES 3ème EDITION LANCÉE À LOMÉ
Le comité d’organisation du village des artistes, a lancé la troisième édition de la rencontre qui réunit annuellement l’ensemble des artistes togolais au cours d’une
Conférence de presse le samedi 5 novembre à Lomé.
La conférence a permis d’informer le public sur le programme de cette manifestation. Selon l’organisateur, l’artiste de la chanson, Azaléko Edem alias Seck, le village des artistes est un concept qui réunit les artistes, les opérateurs culturels et les producteurs de tout le pays dans un stand au cours d’une foire afin de vendre leurs talents et produits à travers des expositions de CD et autres.
Il a indiqué que cette année, l’évènement aura lieu au sein des foires Togo 2000 et de la CEDEAO qui s’ouvrent simultanément à partir du 25 novembre prochain. Plusieurs manifestations meubleront le village des artistes telles que des échanges avec le public et la presse, des signatures d’autographes, des dédicaces et un concert en apothéose.
L’artiste Seck a souligné que cet évènement permettra de fédérer les talents des artistes de tout genre musical autour de la culture togolaise. Il a invité le public à faire nombreux le déplacement afin d’échanger avec les artistes.
BANA MAYELE première Edition au Togo
LANCEMENT DES AUDITS ENVIRONNEMENTAUX AU TOGO
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LUTTE CONTRE LA TRAITE DES PERSONNES DANS LA SOUS REGIONS
« cette approche permet de traiter avec discernement le phénomène de la mobilité de déplacement des uns et des autres et d’éviter de confondre la traite des personnes avec d’autres situations plus ou moins semblable. » |
EGLISE EVANGELIQUE INTERNATIONALE DU TOGO DEJA 20ANS
UN CULTE D’ACTION DE GRACE MARQUE L’EVENEMENT
L’Eglise Evangélique Internationale du Christ (EEIC) a organisé le dimanche 30 octobre à Lomé un culte d’action de grâce pour marquer les vingt ans de son existence au Togo.
Ce culte a permis aux fidèles venus des régions du pays et une délégation du Nigeria d’implorer la bénédiction du Seigneur sur les fidèles Plus festif que d’ordinaire, ce culte a été meublé par l’intervention des pasteurs hôtes et des chants et danses des différents groupes de chorale.
Le pasteur principal de l’EEIC, Révérend Moïse Bello dans sa prédication a rappelé aux fidèles le rôle de l’Eglise dans la nation et salué les autorités togolaises pour avoir garanti les libertés religieuses dans le pays. Il a prié pour le Togo et invité les responsables religieux et les fidèles à cultiver l’amour du prochain, la solidarité et le pardon pour une réussite de la réconciliation engagée.
Le Révérend Bello pense que la multiplicité des églises dans le pays permettra de gagner plus d’âmes pour le Seigneur et de réduire la méchanceté et l’idolâtrie.
Fondée le 25 octobre 1991 à Lomé, l’EEIC se trouve également dans d’autres villes notamment Kpalimé, Tsévié et Atakpamé pour évangéliser et prêcher la bonne nouvelle aux populations.
DES FEMMES SYNDICALISTES FORMEES SUR LA LUTTE CONTRE LE TRAVAIL DES ENFANTS
DANS LA SALLE DE CONFERENCE DE L'OMS A LOME
L’atelier de formation des animateurs de campagne de sensibilisation sur la scolarisation des enfants et la lutte contre le travail des enfants, ouvert le 26
novembre, a pris fin le samedi 29 octobre à Lomé.
Cette session de formation initiée par l’Observatoire Syndical de Lutte contre le Travail des enfants (OSLTE) a rassemblé une quarantaine de femmes syndicalistes sur le thème «La scolarisation des jeunes filles, la non
Discrimination des enfants affectés par le VIH/SIDA et la lutte contre les travaux dangereux des enfants». Il a pour objectif le renforcement des capacités des participantes en matière de techniques d’animation de campagnes de sensibilisation.
Elle a été rendue possible grâce à l’appui du Bureau International du Travail (BIT) à travers le Programme d’Appui 09 (PA09). Ce programme porte sur la sensibilisation de la population sur la lutte contre le travail des enfants, les avantages de la scolarisation avec un accent particulier mis sur les
filles et la stigmatisation des personnes vivant avec le VIH/SIDA.
Les participantes ont formulé des recommandations. A l’endroit du gouvernement, elles demandent l’appropriation du programme de lutte contre le travail des enfants, le suivi des enfants réinsérés, la réhabilitation de la loi du 10 mars, la reprise de l’éducation sexuelle dans les cours primaires et la reprise de la médecine scolaire ainsi que l’ouverture des cantines.
A l’endroit des syndicats, les participantes ont demandé qu’ils intègrent le PA09 dans leur
programme d’action et aux bailleurs de les aider à poursuivre le programme.
Le président de la Confédération Générale des Cadres du Togo, Ephrem Tsikplonou, a témoigné sa gratitude à l’OSLTE pour cette formation.
Une attestation de fin de formation a été remise à chaque participante.
LA POLITIQUE FORESTIERE DU TOGO ET LE PROGRAMME D’ACTION FORESTIER NATIONAL VALIDES.
Les documents de la Politique forestière du Togo (PFT) et du Programme D’Action Forestier National (PAFN) ont été validés les 27 et 28 octobre à la FOPADESC, au terme d’un atelier qui a réuni des directeurs régionaux et chefs de départements du ministère de l’Environnement et des Ressources Forestières.
Initié par ledit ministère avec l’appui du Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), dans le cadre du projet
«Appui à l’actualisation du Plan d’Action Forestier National (PAFN)», cet atelier a permis d’analyser les grandes lignes de ces documents avant leur mise en œuvre pour une gestion durable des forêts du pays.
Les documents du PFT et du PAFN élaborés par des consultants en Politique et Programmation (CNPP) avec l’appui de la Coopération Technique des Pays en Développement (CTDP) proposent respectivement une politique forestière, une stratégie de financement actualisée et des textes d’application du code forestier pour ramener le couvert végétal du pays de 7% à 30% d’ici 2050.
Ils contiennent en outre des programmes dont la mise en œuvre réduira la dépendance des populations vis a-vis des produits forestiers qui contribuent fortement à la dégradation de ces ressources.
A l’ouverture des travaux, le ministre de l’Environnement et des Ressources forestières, Kossivi Ayikoé a indiqué que le taux de déforestation du Togo est le plus élevé de l’espace UEMOA. D’après lui, le couvert végétal est passé de deux millions six cent mille hectares (2.600.000 ha) à huit cent cinquante mille hectares (850.000 ha) en moins de trois décennies d’où la nécessité de doter le pays d’outils nécessaires pour inverser la tendance.
Pour sa part, le représentant par intérim de la FAO au Togo, Docteur Kilébou Pierre M’Pélé a déclaré qu’il s’agit de satisfaire à la fois les besoins actuels et ceux des générations futures par des programmes qui ne dégradent pas l’environnement et qui sont techniquement appropriés, économiquement viables et socialement acceptables.
Il a précisé que la FAO accompagnera le gouvernement dans la mise en œuvre de ce plan national.
LE TOGO ACCEUILLE LE 1er CONGRES PANAFRICAIN DES PROMOTEURS, ENTREPRENEURS CULTRURELS D’AFRIQUE ET DE LA DIASPORA.
Le premier congrès panafricain des promoteurs, entrepreneurs et Sympathisants culturels d’Afrique et de la diaspora se tiendra les 17 et 18 novembre prochain au Togo.
L’information a été donnée par le président du réseau Africain des Promoteurs et entrepreneurs Culturels (RAPEC) Dossavi John Ayité au cours d’une conférence de presse le jeudi 26 octobre dernier à l’institut française de Lomé.
Dans sa déclaration liminaire, le président de RAPEC a précisé que cet évènement culturel initialement prévu pour se tenir au Gabon a été ramené au Togo en raison des préparatifs des élections législatives et de la phase finale de la coupe d’Afrique des Nations (CAN) qui auront lieu dans ce pays.
Selon M. Dossavi pour que cet évènement se déroule dans la quiétude et dans une sérénité totale, les organisateurs ont choisi le Togo qui abrite le siège du RAPEC. Il a indiqué que l’organisation de cette manifestation culturelle placée sous le thème «La culture, levier du développement en Afrique» sera appuyée par l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO).
Pour Monsieur Dossavi, l’objectif de ce congrès panafricain est d’insérer la culture matérielle au cœur du développement des nations africaines. Il est inscrit au programme des conférences thématiques, des ateliers portant sur la musique, la mode, la littérature, le cinéma et les beaux-arts.
A la fin des ateliers, des propositions et recommandations seront soumises aux décideurs politiques des pays africains, à l’Union Africaine (UA) et aux diverses institutions.
D’éminentes personnalités sont attendues à ce congrès, dont l’ancien secrétaire général de l’UA, Edem Kodjo, l’écrivain Nigérian Wolé Soyinka.
Le représentant du ministre de la Culture et des Arts, Tinaka Kossi a saisi l’occasion pour expliquer la portée de ce congrès panafricain qui selon lui permet de mettre en valeur la culture matérielle des pays africains. M. Tinaka a salué le choix porté sur le Togo qui, a-t-il dit, ne ménagera aucun effort pour la réussite de l’évènement.
Des représentants d’organismes internationaux et des opérateurs culturels Béninois ont assisté à cette conférence de presse.
Crée en 2007 au Burkina Faso, le RAPEC œuvre pour la reconnaissance de l’activité culturelle africaine comme une activité économique à part entière. Le RAPEC préconise le renforcement des petites et moyennes entreprises culturelles africaines souvent mal structurées avec des méthodes de gestion archaïque pour en faire des industries culturelles viables.
ATELIER DE PROMOTION DE LA MUTUALITÉ SOCIALE DANS L'ESPACE UEMOA
Un atelier national d’information et de sensibilisation sur les textes réglementaires de la mutuelle sociale dans les pays membres de l’Union Economique et MonétaireOuest Africaine (UEMOA) réunit du 25 au 27 octobre à l’hôtel ibis Lomé centre, les différents acteurs nationaux mutualistes de l’espace.
Organisée par le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, cette réunion a bénéficié de l’appui financier de la Commission de l’UEMOA. Elle vise à sensibiliser les participants sur le règlement n°07/2009/CM/UEMOA du 26 juin 2009 portant réglementation de la mutualité sociale au sein de l’Union et ses modes d’exécution.
Il s’agit également de les amener à identifier les stratégies de mise en application des textes dans le contexte national, élaboré et à adopter un plan de travail de mise en œuvre du règlement.
Ces assises permettront de formuler les recommandations pour le renforcement de la promotion de la mutualité dans l’espacecommunautaire.
Au cours des travaux, les différents acteurs en charge de la mutualité, de la santé, de l’économie et des finances ainsi que des organismes de soutien aux mutuelles sociales suivront, entre autres, des communications sur les différents règlements relatifs à la mutualité sociale, à l’exécution les modalités de constitution des mutuelles, et du plan d’action national de mise en œuvre des textes réglementaires de la mutualité sociale.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Octave Nicoué Broohm a exprimé sa gratitude à la Commission de l’UEMOA, aux partenaires techniques et financiers notamment le Bureau International du Travail (BIT) et l’Agence Française de Développement(AFD) pour les efforts déployés en vue de la mise en place d’un cadre régional des mutuelles sociales dans l’Union.
Il a promis l’action du gouvernement pour l’exécution de ce programme.Le ministre a exhorté les participants à faire des propositions concrètes et réalistes pour une application efficace des textes réglementaires de la mutualité sociale au togo.Auparavant, le représentant-résident de la Commission de l’UEMOA au Togo, M. Abdou Seyni, avait évoqué l’importance que revêt cette réglementation dans la promotion de la bonne gouvernance des mutuelles sociales dont le rôle est d’améliorer l’accès des populations aux services sociaux de base.
ATELIER REGIONALE SUR L’ACCES DES FEMMES AUX SERVICES JURIDIQUE ET JUDICIAAIRE EN AFRIQUE ETAIS AU CENTRE DE REUNION DANS NOTRE CAPITALE DU 24 au 26 OTOBRE 2011
Depuis lundi dernier Lomé sonore une rencontre des femmes africaines du genre et de la justice ainsi que de la société civile venue de 23 pays et 5 régions de l’Afrique, auxquels s’ajoutent les institutions internationales et régionales intervenants en matière des droits des femmes.
Une première réunion qui s’est tenue en novembre 2000 à Lomé a eu pour résultat principal l’adoption d’un plan d’action qui s’est révèle très utile pour faire avancer la question de l’accès des femmes à la justice dans les pays en Afrique sub-saharienne.
Cette deuxième atelier qui début ce jour, à l’aube de la décennie de la femme africaine sans aucun doute, va contribuer à faire de la protection juridique des femmes, une priorité sur lesquelles les efforts devraient être concentrés au cours de cette décennie de la femme 2010-2020.
L’atelier de Lomé vise à faire le point sur les avancées obtenues en matière de services juridiques et judicaire des femmes afin d’identifier les nouvelles actions stratégiques à mettre en place dans le futur.Selon ADJAMAGBO Johnson kafui présidente de wildaf Afrique, bien que l’égalité entre les hommes et les femmes soient proclamés dans tous les textes internationaux, l’application de cette égalité africaine tarde.
Les rideaux vont tomber le mercredi 26 octobre prochaine avec la validation d’un document juridique.
LIONS CLUB INTERNATIONAL A ORGANIISE UNE DISTRIBUTION DE LUNETTE LE SAMEDI 22 OCTOBRE DERNIER L’EPP DE BATOME A DJIDJOLE.
Lions club international (Lomé cascade) avec le soutien technique de la fondation lumière et vie amour à procéder des consultations gratuites avec don des verres médicaux.
Cette opération s’inscrit dans le cadre de la journée mondiale de la vision célébrer chaque 15 octobre de chaque année.
L’objectif de cette journée est de contribuer les conditions de vie des populations, ils sont des centaines de jeunes adulte et vieillards à bénéficier gratuitement des soins et des verres médicaux puis des médicaments..
Selon les pathologies diagnostiques notamment l’hypermétropie la cataracte.
Ce projet à été financer d’un montant de 3 .500.000f par lions club international, c’est une opportunité pour réduire le taux de malvoyants et participer au développement de notre nation.
Le président de lions club monsieur zozo HIPPOLYTE a fait savoir que cette opération est d’aider les élèves et surtout les vieillards du quartier et ses environs qui souffrent de maux d’yeux à trouver une solution à leur préoccupation.
La fondation lumière vie et amour a invite la population à plus de prudence car a-t-il indiqué YEUX N’ONT PAS DE PRIX.
ONG AMIS DE POUBELLE
Étais en Assemblée Générale le mardi 18 octobre dernier à sont siège.
Les travaux ayant ont connu la participation d’une trentaine de personnes à l’ordre du jour est porter sur l’amendement et l’adoption des nouveaux statuts, l’élection du nouveaux bureau exécutif.
La première partie de l’ordre du jour a été diagnostiquée individuellement puis collectivement.
Il s’agit l’aménagement des statuts, certains articles ont été retouchés et d’autres modifiés en ce qui concerne le fond et la forme.
Cette phase d’amendement a eu pour finition l’adoption par main levée des nouveaux statuts de l’ONG.
S’agissant de l’élection du bureau exécutif, un comité électoral a été instauré afin de conduire les différentes étapes de l’élection.
A l’issue du processus électoral, le comité électoral a proclamé la liste de l’exécutif comme suite :
Président MIGLIETTA Vincenzo
Vice président LARE K.Lamoussa
Comptabilité KOLANI Pierre
Coordonnateur National KESSOUGBO Kodjo
Secrétaire et commission aux comptes Mm Azatou MINTOUBA
1er volontaire étranger, Directeur des Relations Extérieures VALTER DE Maria
Le bureau préparatoire a ainsi passé la main au bureau élu pour la suite des travaux de l’Assemblée, puis il a invité tout le monde à une profonde solitaire, compréhension et à la détermination afin de réussir sa mission.
C’est sur ces mots que l’assemblée générale constitutive ordinaire a pris fin aux à la satisfaction de tous les participants.
Fait à Lomé le 18 octobre 2011
Le Président
MIGLIETTA Vincenzo
SEMAINE D’ACTION INTERNATIONALE DES TRANSPORTS ROUTIERS DE L’ITF:
UNE JOURNEE DE REFLEXION A CLOTURE LES TRAVAUX
La Fédération Syndicale des Travailleurs des transports du Togo
(FESYTRAT) a organisé le vendredi 14 octobre, une journée de réflexion placée sous le thème
«Sécurité maintenant» pour clôturer les activités de la semaine d’action internationale des Transports routiers de la Fédération Internationale des ouvriers du Transport (ITF).
Cette rencontre qui a réuni plusieurs transporteurs routiers et conducteurs de Taxi-motos ainsi que les délégués des centrales syndicales affiliées à la CSTT, a permis de faire le bilan des activités menées durant cette semaine afin de dégager des moyens d’action plus efficients pour l’avenir.
C’est aussi une occasion pour les organisateurs d’instruire et de sensibiliser les participants sur leurs droits en matière du VIH/Sida, et conscientiser surtout les conducteurs de Taxi-motos sur les effets nocifs de la poussière et de la fumée des échappements des engins sur leur santé.
Les deux communications meublant ces assises à savoir: «Le respect des droits des conducteurs routiers en matière du VIH/Sida» et «Les conducteurs de Taxi-motos face aux effets des poussières et des fumées des motos et des voitures» ont été présentées par le médecin du travail et directrice de la sécurité et santé au travail, Dr. Afanoukoé Akossiwa Sépopo.
Celle-ci a présenté le VIH/Sida, ses symptômes, ses voies de contamination et ses moyens de prévention et précisé que, comme toute personne, les transporteurs routiers ont droit au test de dépistage du virus de Sida ainsi qu’à la prise en charge psychosociale et nutritionnelle.
Aussi, a-t-elle mentionné les efforts du gouvernement en la matière et ceux des institutions juridiques internationales et nationales qui œuvrent pour la défense et le respect de ces droits.
Dans sa seconde communication, l’oratrice a énuméré les dangers des poussières et des fumées des voitures et des motos pour la santé. «Elles sont les vecteurs privilégiés de plusieurs maladies cardio-vasculaires et pulmonaires», a-t-elle souligné. Elle a, à cet effet conseillé les conducteurs de Taxi-motos, le port de cache-nez afin d’éviter ces maladies.
Auparavant, le secrétaire général de la FESYTRAT, Agbenou Emmanuel avait, dans son discours d’ouverture, félicité et remercie les participants pour leur mobilisation lors de la célébration de cette semaine.
Le mot d’ordre de grève de 48 heures lancé pour le jeudi 28 juillet par les Fédérations des Travailleurs du Bois et de la Construction du Togo (FTBC-Togo) et des Transporteurs (FESYTRAT), suite à l’augmentation des prix des produits pétroliers a été suspendu le mercredi 27 juillet à Lomé. Ce préavis de grève d’avertissement a été suspendu à 24 heures de son entrée en vigueur au cours d’une assemblée générale extraordinaire organisée par chaque fédération couplée d’une conférence de presse. Les secrétaires généraux des fédérations, Ayao Gbandjou de la FTBC-Togo et Emmanuel Agbenou de la FESYTRAT ont restitué à leurs bases les résultats des discussions qu’ils ont faites avec les membres du gouvernement les 22 et 26 juillet. Il leur a été demandé de faire des propositions concrètes au gouvernement en lui accordant un temps pour les analyser.
En dehors de la restitution de la rencontre avec le gouvernement, les deux fédérations ont fait des propositions qu’elles soumettront pour étude. Il s’agit entre autres de la baisse des prix des produits pétroliers et du gaz butane, de la « taxe chambre du commerce », ainsi que les multiples TVA perçues à la chaîne sur ces produits pétroliers, l’électricité, l’eau, et le téléphone à usage domestique. Ces propositions portent également sur l’amélioration de la protection sociale, la baisse des prix des biens consommables, la promotion d’une politique de transport public, de l’habitat et de logement.
Ces fédérations demandent par ailleurs le recensement de tous les acteurs de l’économie informelle et leur accès aux crédits et à la subvention de leurs formations professionnelles. Elles demandent enfin la mise en application de la résolution de la 90e session de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) relative au travail décent et à l’économie informelle.
La suspension pour deux semaines permettra selon les organisateurs aux membres du gouvernement d’étudier ces propositions en vue de réagir favorablement face à cette situation de vie chère au Togo.